GEORGES FRECHE ET LES PLEUREUSES SOCIALISTES

Publié le par la-petite-souris-normande.over-blog.com

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Georges Frêche vient de rejoindre le paradis des Grands Hommes.

N’en déplaise à la gauche bobos-caviar-verdâtre, Georges Frêche était un authentique homme du peuple et un homme de cœur.

 

Le peuple de sa région est aujourd’hui en deuil. Ce peuple, qui aux dernières régionales, lui avait témoigné massivement sa confiance malgré les trahisons et les poignards dans le dos de ses ex-‘‘amis’’ socialistes.

 

En 1977, il devient maire de Montpellier. La ville était alors au 25e rang national. Il la haussa au 8° rang des villes de France dès 2004. Un développement économique et démographique sans précédent.

Avec Georges Frêche, tout était mouvement : Pépinières d'entreprises, grands rendez-vous culturels, construction en 1985 du 1° Zénith provincial, festivals renommés…

Il y a deux mois, il inaugurait ‘‘l’Arena’’ : la première très grande salle de spectacle de province.

Récemment, il avait décroché pour sa ville le siège du groupe consultatif pour la recherche agricole internationale (CGIAR) faisant de Montpellier la capitale mondiale de la recherche agronomique.

 

Sur ses réalisations, il y en aurait des pages et des pages que l’Histoire gravera pour la postérité. A ce titre, il ne fait aucun doute que sa statue rejoindra celles qu’il avait tenu à ériger, en plein cœur d’Odysseum, pour que l’on se souvienne de Jaurès, de Gaulle, Roosevelt, Churchill, Lénine…). Ces statues furent combattues par les Verts qui préfèrent dépenser l’argent des contribuables pour polluer l’air de nos campagnes avec des trains charbonisés et sans passagers, plutôt que de respecter l’Histoire et de s’adapter au modernisme.

 

A contrario de la plupart des politiciens, Georges Frêche ne pratiquait pas la langue de bois. Il appelait un chat, un chat et un politicien, un politichien !

 

On se souviendra notamment de ses déclarations tonitruantes dont la gauche caviar détournait sciemment de son contexte :

 

« À Paris, il y en a un certain nombre qui veulent ma peau depuis toujours parce que je suis un type qui n'est pas dans la norme. Je dis ce que je pense et ça les gène ! »

 

Laurent Fabius ayant déclaré que s'il était Languedocien, il ne serait pas sûr de voter Frêche, ce dernier a répliqué : « Si j'étais en Haute-Normandie, je ne sais pas si je voterais Fabius. Ce mec me pose problème. Il a une tronche pas catholique. »

 

M. Sarkozy ? Un «grand mamamouchi aux talons compensés».

 

« Et je dis à mon ami le pasteur Nuñez qui mène cette manifestation, qu'il devrait se souvenir des luthériens qui ont voté Hitler en Allemagne en 1933 ! » (En janvier 2010 au pasteur de la Cimade.)

 

A propos d'une femme en tchador : «Ne vous inquiétez pas pour la dame, elle n'a que les oreillons et on lui tient les oreilles au chaud.»

 

Conformément à la loi contre le cumul des mandats, en 2004, Georges Frêche cédera les clefs de la ville à son adjointe PS Hélène Mandroux. La même qui le trahira en se présentant contre lui aux dernières régionales avec l’appui des ligueurs Aubry, Fabius, Hamon et Cie…

En recueillant 7% des voix, les électeurs donnèrent une énorme fessée à la candidate PS et ses mammouths parisiens.

 

Le 3 février 2010, sur le blog de la petite souris, j’écrivais que « Traiter Georges Frêche de raciste ou d’antisémite pour avoir clamé, au lendemain du « remplissage » des urnes pour l’élection de Martine Aubry au poste de secrétaire nationale que Laurent Fabius « n’était pas très catholique » n’a rien à voir avec une consonance antisémite. C’est une expression traditionnelle dans les chaumières de notre douce France qui veut dire que la confiance laisse plus qu’à désirer. Mais, c’est tellement plus facile de transformer la vérité à la manière des procès staliniens.

Rappelons tout de même que Georges Frêche avait milité contre les guerres coloniales. Qu’en 1973, il entreprit la construction d’une maison des Rapatriés en liaison avec la communauté Pieds-noirs et harkis. En 1982, il met en berne tous les drapeaux de la ville de Montpellier quand Claude Cheysson, ministre des Affaires étrangères de François Mitterrand, vient s'incliner à Alger devant la tombe des combattants du FLN. Qu’il n'a jamais été ministre, selon lui parce qu'il était contre les financements du Parti Socialiste par Urba et les liens entre François Mitterrand et le milicien René Bousquet. » (Wikipédia)

Depuis hier soir, les médias nous mettent en boucle les déclarations des pleureuses socialistes.

Ces pleureuses qui n’hésitaient pas de son vivant à lui asséner des poignards dans le dos.

N’avons-nous pas entendu tous ces hypocrites :

"Frêche voulait déplacer les montagnes" (F.Hollande)

"Un homme courageux, visionnaire, bâtisseur" (M. Aubry)

"un visionnaire urbain" (Pierre Moscovici)

"Georges Frêche avait le souci du peuple" Hamon

"Je veux garder le souvenir d'une amitié réelle".(Hélène Mandroux). Celle-là même qui sort ces jours-ci un livre où elle parle de Georges Frêche : « c’est un tueur, je le plains quelle solitude doit être la sienne »

 

Et toute cette brochette d’hypocrites prétendent gouverner la France, PITOYABLE !

 

Une fois n’est pas coutume, je préfère citer son opposante frontale que de m’associer aux pleureuses hypocrites socialistes… : « C’était un adversaire politique, pour lequel j’avais une d’admiration certaine. C’était un homme de cœur. Son intelligence, sa capacité de travail et son sens politique forçaient le respect. Il ne pouvait et ne voulait laisser personne indifférent.

Démiurge, visionnaire, stratège, politique, érudit, il avait acquis, du Languedoc jusqu’en Chine, en passant par Solférino, une dimension et une notoriété à la hauteur de ses ambitions, de ses rêves et de sa culture.

Il avait les défauts de ses qualités et les qualités de ses défauts. L’ampleur et la puissance d’une personnalité hors du commun qui s’exprimait sans tartuferie ont contribué à sa réussite et sa renommée mais aussi aux controverses et aux polémiques.

Au-delà de l’empreinte qu’il a gravée durant plus de trente ans dans l’histoire politique de notre région, son œuvre incontestable et incontestée restera la ville de Montpellier, dont il fut le bâtisseur et le prophète.

Il avait une profonde connaissance des hommes et une lucidité implacable sur leurs vertus et leurs faiblesses.

Georges Frêche était avant tout un mari et un père aimant, un homme entouré d’amis fidèles. Il restera présent dans le cœur et la mémoire de ceux qui l’ont aimé et ont su l’apprécier envers et contre tous.

Je présente mes sincères condoléances à sa famille, ses filles, sa femme Claudine et Marion.

France Jamet, Présidente du Groupe des Elus du Front National au Conseil Régional du Languedoc-Roussillon

 

Gaulliste, je ne suis ni de droite, ni de gauche, mais fier d’être patriote. C’est à ce titre que je pleure la mémoire de Monsieur Frêche : un vrai Patriote !

Avec cette vidéo, laissons-lui le dernier mot.

 

  Gif ecole livres (23) Vildenay  

 

Publié dans VILDENAY

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