LES CHIFFRES INTERDITS
Dans un excellent article paru dans Valeurs Actuelles, Laurent Obertone contourne la « censure de l’intelligentsia médiatique » pour parler d’immigration de manière claire et transparente.
Confirmant l’intégration positive des immigrés européens (Polonais, Italiens ou Portugais, ainsi que les ressortissants d’Afrique du Nord des années 1950 à 1970) qui se rendaient en France pour y travailler, force est de constater qu’aujourd’hui l’immigration issue de l’Afrique subsaharienne, du Maghreb et du Moyen Orient rencontre le plus de difficultés à s’intégrer en voulant exporter leur mode de vie d’origine et en méprisant la langue du pays d’accueil. Il aurait été plus judicieux d’ouvrir nos portes aux ressortissants d’Afrique Noire qui parlent couramment le Français et majoritairement de naissance Chrétienne. A savoir, nos mêmes us et coutumes.
Selon l’Insee, en 2016, 30,9% des naissances sont issues de l’immigration subsaharienne, représentant près de 10% de notre population. Selon le professeur Américain d’études africaines Stephen Smith plusieurs millions d’Africains subsahariens migreront vers la France d’ici trente ans. Notre société ne devant plus survivre !
En excluant les enfants nés en France, la proportion d’immigrés en métropole est la plus élevée de tous les temps soit 9,7%. A quoi on doit ajouter 11% de descendants d’immigrés. (source 2015).
Et Laurent Obertone d’avancer les calculs suivants :
5,4% millions de descendants de Maghrébiens, soit 8,3% de la population.
2,78 millions des descendants d’Africains subsahariens, soit 4,2% de la population.
625.000 descendants de la diversité « autre », soit 1% de la population.
600.000 descendants de Turcs, soit 0,9% de la population.
500.000 Roms, soit 0,7% de la population.
400.000 clandestins, soit 0,6% de la population.
En excluant volontairement les descendants Français d’Harkis dont les Pères ont combattu aux côtés de la France et dont les descendants se sont majoritairement intégrés, cela fait un total de 10.275.000 personnes issues de la « diversité visible », soit près de 18%...
De plus, 55,8% des immigrés sont « pauvres » ou en situation « d’exclusion sociale ». 34% des ménages immigrés sont locataires du secteur social. Le taux de chômage pour les nouveaux arrivants avoisine les 24%.
En 2014, la France consacrait 34,3% de son PIB à la protection sociale : record absolu de l’OCDE !
La Sécurité sociale coûte à chaque Français 230 euros par mois. Et en 2016, elle dénombrait 68,8 millions de bénéficiaires, ses caisses couvrant 72,3 millions de personnes.
Ce qui n’empêche pas les « migrants » d’expédier la bagatelle de 451 milliards de dollars dans leurs pays d’origine…
A quoi il faut ajouter une litanie d’aides en tout genre dont le détail figure dans l’excellent ouvrage de Laurent Obertone (Editions Ring, 19,95 Euros)
Laissons-lui le mot de la fin : « Le problème n’est pas tant la fraude que la non-fraude. Le cumul des ces « aides », de ces subventions et de ces « droits » qui permettent à autant d’individus de toucher autant d’argent public, en toute l’égalité ».