LA DEMANDE D’ASILE BAISSE PARTOUT EN EUROPE MAIS AUGMENTE EN FRANCE…
En 2018, l’État a su budgétiser 5 milliards d’€uros pour financer l’immigration, mais cherche une somme équivalente pour financer les retraites...
Dans Valeurs Actuelles de la semaine dernière, Yves Mamou dénonce le financement de l’immigration au détriment des retraités qui ont travaillé toute une vie… Scandaleux !
Les nantis qui gravitent depuis des décennies autour du Pouvoir (les Attali, Minc, le Fonds monétaire international, etc…) passent leur temps à essayer de nous convaincre que les immigrés doivent être bien accueillis… car ils sont là pour payer nos retraites. Menteurs !
Et Yves Manou de constater que quarante ans d’immigration continue n’ont en rien atténué le problème. Les gouvernements se suivent avec une seule consigne : hausse des durées de cotisation, report des années butoirs de départ à la retraite, etc, etc…
Alors que le taux de chômage en France bat tous les records, l’État invite les étrangers entrés en France sans visa – et sans intention de la quitter- à déposer une demande d’asile. L’inénarrable ministre de l’Intérieur, Castaner, osait déclarer à l’Assemblée nationale que « Notre pays demeure soumis à une pression migratoire intense, évolutive… »
Ah bon ! Qui commande en France, le gouvernement ou les clandestins ?
L’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) estime qu’en 2018 le record est battu avec plus de 120.000 demandes d’asile.
Et Yves Manou de préciser que les dépenses liées au processus migratoire peuvent se décliner comme suit : L’exercice du droit d’asile représente 1,35 milliard d’€uros en autorisation d’engagement et 1,21 milliard d’€uros en crédits de paiement dans le projet de loi de finances pour 2019. Soit une hausse de 36% par rapport à 2018.
A cela doit s’ajouter que les clandestins ne sont pas seulement rémunérés et hébergés, ils sont également soignés. L’Aide médicale de l’Etat (AME) s’élèvera cette année à 1 milliard d’€uros…
En 2018, l’État a su budgétiser 5 milliards d’€uros pou financer l’immigration, mais on continue de ponctionner les retraités qui, eux, ont travaillé toute une vie !
Et Yves Mamou de conclure « qu’il faudrait que l’État comprenne qu’il ne peut mener une coûteuse politique migratoire qui semble n’avoir d’autre but que de faire baisser les salaires des français tout en exigeant toujours plus de taxes et toujours plus de réduction des avantages acquis. La révolte des ‘‘gilets jaunes’’ est née d’une contradiction similaire. »
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