POUR EN FINIR AVEC LES KHMERS VERTS
Comme l’affirme très justement le texte de présentation de l’ouvrage de Bruno Durieux : « Si l’écologie est une science rigoureuse, l’écologisme est son contraire ! ».
Une idéologie gauchiste-réactionnaire de combat, dressée contre l’économie de marché, qui prend naissance dans les années 1970 et qui, aujourd’hui, avec la complicité des pouvoirs à la solde de certains potentats financiers, a pour emblème l’inénarrable Greta.
Et Bruno Durieux de pointer du doigt qu’aucune des prophéties écolo-catastrophiques prônées par le Club de Rome (un autre machin gracieusement financé) ne s’est concrétisée :
Famines liées à l’explosion démographique : raté !
Épuisement des ressources fossiles pour l’an 2.000 : raté !
Disparition de la biodiversité : raté !
Crise mondiale de l’eau : raté !
Aussi, comme l’écrit Bertrand Alliot dans Causeur.fr : « L’heure n’est-elle pas venue de demander des comptes ? Désormais en tout cas, une puce nous chatouille l’oreille : que penser du ‘‘catastrophisme climatique’’ ?
Et de rappeler à juste titre que les tenants de l’idéologie écolo ne voient d’autre solution pour ‘‘sauver’’ la planète que d’imposer d’une main de fer la « décroissance productive et la frugalité heureuse »…
C’est sciemment omettre tous les bienfaits apportés par la croissance économique !
Il est plus que temps que les ténors politiques qui ne s’en laissent pas conter, crient haut et fort ‘‘que seules les économies prospères, confiantes dans les technologies et l’innovation sont à même de réduire les nuisances environnementales.’’
Laissons le dernier mot à Bertrand Alliot : « Un essai salutaire qui tente de remettre l’église au milieu du village…
A lire absolument !
Vildenay