PHILIPPE DOUSTE-BLAZY DÉNONCE L’ÉTUDE ANTI-CHLOROQUINE
L'ancien ministre de la Santé Philippe Douste-Blazy, invité de BFMTV-MACRON samedi dernier, a expliqué pourquoi il remet en cause l'étude de The Lancet concernant l'hydroxychloroquine. « Si vous donnez de l'hydroxychloroquine à des gens qui vont mourir, c'est sûr qu'ils vont mourir », a-t-il déclaré.
Suite à la parution d’une ‘‘étude’’ publiée sur la revue scientifique The Lancet, affirmant que le traitement à la chloroquine du Professeur Didier Raoult était inefficace au mieux, dangereux au pire… les médias se sont empressés d’en faire des gorges chaudes avec la bienveillance habituelle de l’incompétent ministre dit de la santé…
Interviewé par BFMTV-MACRON, Philippe Douste-Blazy a révoqué cette ‘‘étude’’ argumentant sur son peu de crédibilité. Précisant que le dit groupe testé à la chloroquine était entre autres composé de 20% de malades atteints de graves affections respiratoires ! Ajoutant : « Si vous donnez de la chloroquine à des mourants, c’est sûr qu’ils vont mourir ! »
Et l’inénarrable Apolline de Malherbe de lui demander : « Pourquoi des scientifiques reconnus fausseraient-ils des données médicales aussi importantes ? »
Conservant un calme olympien, Philippe Douste-Blazy lui renvoie la balle en lui précisant que la plupart des revues médicales, dont The Lancet sont sous l’influence des multinationales du médicament… et d’argumenter : « Les sommes en jeu sont tellement énormes que les labos financent en sous-main certains articles. Si le laboratoire américain Gilead annonce qu’une de ses molécules marche, le Wall Street journal reprend cette info le lendemain et la hausse immédiate du cours de Bourse fait gagner quatre milliards de dollars aux actionnaires. Les laboratoires ne peuvent laisser passer cette chance unique de faire des profits colossaux ! »
Et Philippe Douste-Blazy d’avancer qu’il se pourrait que « le laboratoire Gilead, qui a investi des sommes énormes pour découvrir le vaccin avant ses concurrents aurait financé les actions de déstabilisation contre le Professeur Didier Raoult ! » et de conclure : « Si on m’avait dit, après vingt ans de recherche, que je verrais de pareilles choses, je n’y aurais pas cru une seconde ! »
Après que les instances hospitalières se soient dévouées corps et âmes pour sauver des milliers de victimes du Coronavirus, il est impératif que le Président de la République réponde favorablement à leur cri d’alarme afin de sauver le Service public hospitalier.
A défaut, il faudra vite changer le locataire de l’Élysée !