UNE BELLE MÉDITATION RUSSE DEBUT XXème SIÈCLE
Du bonheur de désirer notre cœur est rempli, envahi de ce bonheur d’attendre ce qui va advenir…
Mais tremblant, il redoute que son attente ne s’accomplisse !
Tout ce que la vie nous offre, nous n’osons l’accueillir, hésitant à porter le fardeau du bonheur.
Les sons, nous les voulons, mais les harmonies nous effraient…
En vain, nous attendons d’être comblés, c’est un défi que toujours nous aimons, toujours nous en souffrons, et pourtant nous mourons sans l’avoir relevé !
(Moscou 1901, période romantique pré-révolutionnaire)
Zinaïda Nikolaïevna
© Traduction de l'Abbé Alain René Arbez
avec l’aimable autorisation de Dreuz.info.
Dreuz a besoin de vous : Le journalisme indépendant ne reçoit aucune aide d’Etat. Dreuz.info ne peut pas exister sans votre soutien financier. Pour contribuer en utilisant votre carte de crédit (sans vous inscrire à Paypal), cliquez sur ce lien Paypal.Dreuz, et indiquez le montant de votre contribution. Nous vous remercions.
Parce que Dreuz est censuré pour le crime de désaccord avec la gauche, suivez notre fil Twitter, et retweetez-nous. C’est un important geste de résistance pour faire circuler vos idées.