UNE CAMEROUNAISE FINALISTE DU PRIX GONCOURT
Née en 1975 sur les pourtours de Maroua, au nord Camerounais, situé entre le Tchad et le Nigéria, Djaïli Amadou Amal est une écrivaine et militante féministe connue pour ses ouvrages traitant des violences et des discriminations dont sont victimes les femmes musulmanes dans certains pays du continent africain.
« Les Impatientes », publié en Afrique sous le titre Munyal, les larmes de la patience, de Djaïli Amadou Amal, fait partie des quatre finalistes retenus pour le Goncourt, qui devrait être décerné le 10 novembre.
Dans « Les Impatientes », roman d’inspiration autobiographique paru aux éditions Emmanuelle Collas, elle nous plonge dans la vie de trois femmes (Ramla, Hindou et Safira). Polygamie, mariage précoce et forcé, violences conjugales... Voilà ce qui lient leurs destins.
Dans une longue interview de Djaïli Amadou Amal par le militant LGBT Fasséry Kamissoko sur la chaîne gauchiste TV5monde, on ‘‘omet’’ de préciser que 10 femmes sont ministres dans le Gouvernement Camerounais… et que, conformément à la loi, lors d’un mariage à la mairie, il est demandé aux deux parties si elles acceptent la polygamie.
Le quotidien La Croix (*) précise les religions pratiquées au Cameroun, à savoir : Chrétiens : 70,3%. Musulmans : 18,3%, Religions traditionnelles : 3,3%.
Le Degré d’atteinte à la liberté religieuse au Cameroun, selon l’Aide à l’Eglise en détresse (AED) est : Faible intolérance !
D’autre part, la Loi Camerounaise garantit la liberté religieuse.
(*) Sources: Pew Forum, AED, CIA, CEF, The Arda, Catholic-Hierarchy, Vatican