LA FICTION MENSONGÈRE DES KHMERS VERTS !
De mon île paradisiaque, j’ai eu chaud au cœur en relevant qu’après avoir élu des Verts à la tête de certaines grandes villes, devant leur dictature écolo-marxiste, les électeurs ont vite compris leur erreur. C’est ainsi que dans les régions indiquées ci-dessous, le volte face à l’égard des Khmers verts est le suivant :
Auvergne-Rhône-Alpes 4,59% des inscrits ;
Nouvelle Aquitaine 4,15% des inscrits ;
Provence-Alpes-Côtes d’Azur 1,70% des inscrits.
C’est un bon présage pour les prochaines présidentielles en permettant au Parti Socialiste de se libérer du carcan écolo afin d’être challenger du candidat de la Droite.
Mais mieux que je ne pourrai le faire, je vous laisse prendre connaissance de la présentation de l’éminent ouvrage de Christian Gerondeau ‘‘La religion écologiste’’ :
Kenavo emberr (A bientôt)
La température moyenne de la planète a augmenté d’environ 1°c depuis un siècle et demi.
Selon le GIEC, la cause principale de cette hausse serait le CO d’origine humaine et, pour sauver notre terre d’une catastrophe imminente, il faudrait donc faire baisser nos émissions de CO .
C’est avec cette conviction que la Convention Citoyenne sur le Climat s’est fixée comme objectif de réduire de 40 % nos émissions nationales.
Un effort énorme pour la France (et un coût faramineux) mais qui ne correspond pourtant qu’à 0,25 % des émissions mondiales. Car ce ne sont plus les pays développés qui comptent, mais l’Inde, la Chine, et demain l’Afrique qui ont tous un besoin vital de pétrole, de gaz naturel et de charbon pour sortir leurs populations de la pauvreté comme nous l’avons fait nous-mêmes.
Les projections officielles de ces pays montrent ainsi que les émissions mondiales de CO vont inexorablement continuer à croître.
Faut-il alors craindre la catastrophe ?
Non. Il y avait 4 fois plus de CO dans l’atmosphère au temps des dinosaures et tout allait bien.
Si nous avons peur, c’est parce qu’on nous fait peur car la peur fausse le jugement. Et les tenants d’une vision négative de l’humanité, qui dominent depuis un demi-siècle à l’ONU, le savent bien…
Pourtant, il ne devrait s’agir là que de science. L’Homme peut-il agir sur le climat ? En scientifique et sur la base des propres chiffres du GIEC, Christian Gerondeau montre qu’il n’en est rien.
Cessons de trembler et utilisons notre raison.
Christian Gerondeau, est un essayiste et haut fonctionnaire français. Il est le premier Délégué à la sécurité routière français. A ce titre, il met en place les limitations de vitesse sur route en 1973.
Biographie
Ancien élève de l'École polytechnique (promotion 1957) et diplômé de l'École nationale des ponts et chaussées.
Dans les années 1970, il est l'un des premiers à croire à une réduction possible du nombre de morts sur les routes, à un moment où le consensus fait des accidents de la route une fatalité[réf. nécessaire].
Jacques Chaban-Delmas, Premier ministre français, crée le 5 juillet 1972 le Comité interministériel de la sécurité routière2, et nomme Christian Gerondeau délégué à la sécurité routière en charge de ce comité3. La mission de ce « Monsieur Sécurité Routière » est d'animer ce comité interministériel, de définir une vision, une politique et des objectifs avec le gouvernement, et de piloter la communication. Christian Gerondeau met en place les limitations de vitesses et le port obligatoire de la ceinture de sécurité et du casque de moto en France en 19734.
Il est également l'auteur des plans actuels du RER parisien .
Plus récemment, il est chef de mission pour la Commission de Bruxelles et la Banque mondiale.
Il devient ensuite président de la Fédération française des automobiles clubs et des usagers de la route (FFACUR). Depuis le 17 septembre 2008, il est président délégué à la Mobilité et à l'Environnement de l'Automobile Club Association, qui fusionne alors avec la FFACUR.
En 2010-2011, il préside l'Association des anciens élèves et diplômés de l'École polytechnique.
En 2015, il prend la tête du groupe X-Climat, ce qui a suscité des contestations en raison de ses positions climato-sceptiques12.
Il est également membre du conseil scientifique d'un think tank climato-sceptique, le Global Warming Policy Foundation.
Thèses
Dans son livre Écologie, la grande arnaque (2007), il dénonce « le terrorisme intellectuel et le règne sans partage du politiquement correct de l'écologie » et prend à contre-pied les solutions préconisées par les environnementalistes. Il y dénonce ce qu'il considère comme une collusion entre scientifiques, extrême gauche et mouvements altermondialistes. Dans ce livre il ne conteste pas la réalité du réchauffement climatique mais il met en cause les politiques publiques proposées comme étant trop coûteuses et inefficaces. Il propose de se concentrer sur la production d'électricité nucléaire et la réduction de la consommation des automobiles.
Christian Gérondeau accuse les écologistes d'exagérer le réchauffement climatique, ce qui lui permet ensuite de rejeter les politiques climatiques envisagées. Il y énonce le « paradoxe Gérondeau ». Selon lui, la réduction des émissions de gaz à effet de serre ne sert à rien car l'homme utilisera inexorablement toutes les énergies fossiles, pétrole, gaz naturel et charbon, en ayant trop besoin pour les laisser inexploitées dans le sous-sol. Christian Gerondeau avance que les ressources financières consacrées à la réduction des émissions pourraient être utilisées à meilleur escient. Il dénonce aussi ce qu'il présente comme des paradoxes, des contradictions, et des manipulations des données par le GIEC, qu'il présente comme un groupe de pression, sur un réchauffement qui, prétend-il, aurait arrêté sa progression depuis 1998, sur des mesures irréalistes par rapport aux besoins des pays en développement, et sur le gaspillage de l’argent public en la matière.
Dans son livre Écologie, la fin des illusions : Vingt ans de décisions ruineuses (2012), il remet en question la réalité du changement climatique et le rôle de l'humain dans l'évolution du climat. Il présente la croissance des émissions de CO2 comme une fatalité, assure que l'humain saura « évidemment faire face » à une élévation de la température moyenne du globe et affirme que « toutes les dépenses aujourd’hui consenties dans le but de réduire nos émissions de CO2 n’ont aucun sens. »
Dans Candide au pays des libéraux, il tente de démontrer à l'aide d'exemples concrets que le socialisme produit moins de résultat social que le libéralisme. En particulier, il s'attaque à la pensée commune qui considère que le modèle français est plus social que le modèle américain, comparant par exemple le revenu moyen d'une famille américaine avec celui d'une famille française.
En 2019, il fait partie des 40 signataires français d'une pétition remise aux dirigeants de l'Organisation des nations unies et assurant qu'il n'existe pas « d'urgence ou de crise climatique »
Il appartient à l'Association des climato-réalistes emmenée par Benoît Rittaud.
Ouvrages
- La mort inutile, 1979
- Les transports urbains, 1991
- Les transports en France : Quelques vérités bonnes à dire, 1994
- Candide au pays des libéraux, Albin Michel, Paris, 1998
- La Saga du RER et le Maillon manquant, 2003
- Les danseuses de la République : SNCF, transports publics et autres, L'Harmattan, Paris, 2004
- L'écologie et les imposteurs, Descartes et Cie, 2007
- Écologie, la grande arnaque, Albin Michel, Paris, 2007 (ISBN 978-2226179395)
- CO2 : un mythe planétaire (préf. Valéry Giscard d'Estaing), Les éditions du Toucan, Paris, 2009 (ISBN 978-2-810002-46-7)
- Écologie, la fin, Les éditions du Toucan, Paris, 2012
- La Poule aux œufs d’or. La renaissance de Polytechnique, Les éditions du Toucan, Paris, 2013
- Climat : j'accuse, Les éditions du Toucan, 2015.
- Climat : la grande manipulation, Les éditions du Toucan, 2017.
- Le CO2 est bon pour la planète : climat, la grande manipulation, Paris, L'Artilleur, 2017.
- L'air est pur à Paris mais personne ne le sait, Paris, L'Artilleur, 2018 (ISBN 978-2-8100-0874-2).
- Oui, vous pouvez acheter un Diesel !, Paris, L'Artilleur, 2019 (ISBN 978-2-8100-0897-1).
- La religion écologiste : climat, CO2, hydrogène : la réalité et la fiction , Paris, L'Artilleur, 2021.
Prix
Source Wikipédia