LE TEMPLE DE LA HONTE DES RÉCHAUFFARDS (2/8)

Publié le par CLOJAC

LE TEMPLE DE LA HONTE DES RÉCHAUFFARDS (2/8)

DES MODÈLES PAS VRAIMENT TOP !

Le GIEC n'est pas un organisme scientifique de référence !

Il pourrait être une institution internationale respectable s'il compilait des données brutes et les mettait à la disposition de la communauté scientifique. Au besoin en animant des débats où tous les points de vue seraient appelés à s'exprimer.

Mais ivres du pouvoir que leur confèrent certains politiciens, des professeurs et des chercheurs qui n'ont jamais rien trouvé d'autre que des subventions, s'aventurent dans des spéculations hasardeuses, prétendent prédire l'avenir et « guider l'action des gouvernements. »

En 2016, le groupe 3 du GIEC avouait : « Dans la majorité des cas, les projections sous-jacentes reflètent les choix particuliers de l’équipe de modélisation quant à la façon de conceptualiser l’avenir. Les scénarios de référence présentent un large éventail d’hypothèses concernant la croissance économique, la demande d’énergie et l’intensité carbone de l’énergie »

Par ailleurs, quand les faits démentent leurs allégations, ils n'hésitent pas à tricher, et à truquer les données, afin de conserver leur emprise sur des gens au bagage scientifique succinct et à la mince culture historique.

Parmi les nombreuses supercheries dénoncées sur ce site, celle de Puerto Casado (Paraguay) résume le modus operandi de beaucoup d'autres : On choisit des endroits éloignés, isolés, où espère-t-on personne n'ira voir... En on "ajuste" les relevés de températures avant de les intégrer dans le modèle unique du réchauffement cataclysmique.

LE TEMPLE DE LA HONTE DES RÉCHAUFFARDS (2/8)

L'ajustement des données, pour ne pas dire la fraude grossière, a été dénoncée par Terence Kealey, vice-président de l'Université de Buckingham, Peter Chylek, physicien attaché au labo de Los Alamos, Richard McNidier, professeur de physique atmosphérique à l' Université d'Alabama, Roman Mureika, universitaire expert en méthodologie statistique et Roger Pielkle Sr, professeur de climatologie à l'Université du Colorado.

Autre exemple dont les imposteurs manipulent l'information : Le 7 février 2021 un glacier himalayen se fracasse à la suite d'un glissement de terrain, parti d'une faille observée depuis l'espace. Des morceaux du glacier tombent dans un fleuve qui déborde, provoquant la catastrophe de Tapovan.

Inutile de rappeler que les glaciers bougent, qu'ils sont soumis à des forces de compression et de dilatation, et qu'il y a toujours eu des poches d'eau  sous certains glaciers et des lacs glaciaires à leur moraine frontale.

Pour les réchauffards, pas l'ombre d'une hésitation, ce ne peut être qu'un effet de leur prétendu réchauffement cataclysmique !

LE TEMPLE DE LA HONTE DES RÉCHAUFFARDS (2/8)

Publié dans ÉCOLOGIE RESPONSABLE

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