QUELQUE CHOSE S’EST DÉFINITIVEMENT CASSÉ ENTRE NOUS !
J’étais avec Maïté et nous devisions de choses et autres. Nous parlions de la peur-panique de Josée qui n’a pas voulu s’associer à nous pour les repas de Noël. A l’occasion d’un dépassement sur la route qui nous ramenait vers Roiffé, elle me dit, parlant de l’état de nos relations sociales à l’occasion de la crise sanitaire : « Quelque chose s’est définitivement cassé dans la société. »
En effet, être qualifié de criminel de la part d’amis au prétexte que nous avons fait le choix de ne pas recevoir en conscience et en responsabilité des injections expérimentales testées en 112 jours chrono à une fréquence de 3 mois m’amène à m’interroger sur le degré de bêtise d’individus que, finalement, je ne connaissais pas vraiment.
De la même façon, j’ai un peu de mal à comprendre la majorité des personnels de santé, médecins et infirmières, qui ont injecté – notamment à des enfants – un produit expérimental élaboré en 9 mois, jamais testé sur l’être humain, dont nous découvrons les effets secondaires dévastateurs…
Le gouvernement a eu l’intelligence d’acheter leur soumission à une doxa délirante, peu soucieuse du Code de Nuremberg et de leur propre code de déontologie. Comme j’ai envie de rester correct, je parlerais tout simplement de laquais mus par l’appât du gain.
Je ne chercherai plus à revoir tous ces gens de mon entourage qui ont tenu ou tiendront des propos infamant sur les non vaccinés. Jamais dans ma vie, j’ai demandé à ce que les fumeurs, les alcooliques, les drogués, les sportifs, les dingues du boulot aient à payer davantage à cause des ennuis de santé que leur génèrent leurs addictions.
Le légitimisme putassier et bon teint à l’occasion de cette crise sanitaire me fait vomir, notamment quand il vient de gens de gauche réclamant à cors et à cris la vaccination obligatoire sans connaître les effets secondaires de long terme de ce jus de chaussette incapable d’endiguer l’épidémie.
Dès le mois de septembre, j’ai entendu des vieux chnoques exiger de leurs enfants et surtout de leurs petits enfants qu’ils soient vaccinés. Certains d’entre eux ont tenu à vérifier le passe sanitaire de leur progéniture pour manger à Noël une bien mauvaise dinde aux marrons. Cela valait bien un petit billet de la part de Papy et Mamie.
Tout s’achète dans notre société.
https://extime.fr/quelque-chose-s-est-definitivement-casse-entre-nous/
Titulaire d'une maîtrise de sciences économiques, Denis Szalkowski a suivi une formation d'administrateur de base de données Oracle.
Formateur-consultant : bases de données (MySQL, PostgreSQL, SQL Server, Oracle), Linux (CentOS, Red Hat, Fedora, ...), les infrastructures LAMP, le scripting (Bash, PowerShell, Php) et la sécurité informatique.
Denis Szalkowski est co-fondateur de l'association Saint Pierre Informatique.
Élu dans sa commune de Saint Eloi de Fourques depuis 2001, il en ait devenu maire - sans étiquette – en 2014 et réélu dès le 1er tour en 2020.