CES FRANÇAIS QUI N’AURAIENT PAS DÛ VERSER LEUR SANG SOUS MACRON…
Lola, Laura, Mauranne, Nadine, Vincent, Simone, Olivier, Chantal… Tous sont Français. Tous sont tombés sous les coups d’étrangers qui n’auraient pas dû se trouver en France. Tous sont les victimes du laxisme migratoire.
La scène est d’une violence inouïe. Ce mercredi 11 janvier, à une heure de grand trafic, un homme agresse « sans raison apparente » des voyageurs de la gare du Nord (Paris, Xe). Pendant plusieurs secondes, il assène une vingtaine de coups à l’arme blanche à un homme à terre et blesse les passants qui tentent de le désarmer. Finalement, l’intervention rapide des policiers permet de neutraliser le suspect. Bilan de l’attaque : six personnes blessées. Une nouvelle fois, on apprend que cet assaillant, tout comme la meurtrière de la petite Lola, n’aurait jamais dû se trouver sur le sol français. Entré en France il y a trois ans, cet homme d’origine libyenne – dont la véritable identité reste à confirmer – était sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF), émise en 2022.
L’attaque de la gare du Nord confirme le laxisme français en matière d’immigration. L’exécutif, incapable de contenir les vagues migratoires, ne parvient pas (ou n’essaie plus) d’expulser les clandestins présents sur notre sol. Et des Français en payent le prix du sang.
Il y a d’abord eu Mauranne et Laura. Les deux cousines – l’une brillante étudiante en médecine, l’autre en passe de devenir infirmière – sont tuées à l’arme blanche sur le parvis de la gare Saint-Charles à Marseille. L’assaillant, un Tunisien de 29 ans, connu des services de police pour divers vols, était en situation irrégulière depuis plusieurs années. Mais en 2005, le projet de son expulsion avait été abandonné, faute de places en centre de rétention.
Trois ans plus tard, à la veille de la Toussaint, une nouvelle fois, un Tunisien d’une vingtaine d’années endeuille la ville de Nice. Au petit matin de ce 29 octobre 2020, Brahim I., arrivé clandestinement en France quelques jours plus tôt, pénètre dans la basilique de Nice, armé d’un couteau. Il se dirige d’abord vers Vincent, le sacristain, et l’égorge violemment. Ce père de deux enfants s’éteint à la veille de ses 55 ans. Il s’attaque ensuite à Nadine, une fidèle paroissienne de 60 ans. Simone, la dernière victime du terroriste, succombe à ses blessures dans un café voisin. Ses derniers mots seront pour ses trois jeunes enfants, âgés alors de 6, 9 et 15 ans.
Le 9 août 2021, cinq ans après l’assassinat du père Hamel, la France pleure la mort d’un autre de ses prêtres. Le père Olivier Maire, qui avait généreusement ouvert les portes de sa communauté à Emmanuel A., un clandestin d’origine rwandaise, est retrouvé mort après plusieurs coups portés à la tête. Et encore une fois, son meurtrier était sous le coup de plusieurs OQTF qui n’avaient jamais pu être mises à exécution.
Depuis, les drames s’enchaînent, et toujours la même rengaine : le coupable n’aurait pas dû être présent sur le sol français. À Mulhouse, après la découverte du corps égorgé de Chantal, une septuagénaire, la sidération laisse place à la colère : selon plusieurs médias, les trois jeunes Algériens présumés responsables de sa mort étaient a priori sans papiers.
Et puis, il y a Lola, le 14 octobre dernier. L’écolière de seulement 12 ans, après avoir subi les pires sévices, mourait asphyxiée. Sa meurtrière : une SDF d’origine algérienne qui faisait l’objet d’une OQTF depuis août 2022. Une obligation qui ne sera jamais exécutée…
À ces quelques Français, dont la liste est loin d’être exhaustive, s’ajoutent tous les anonymes victimes chaque semaine d’étrangers en situation irrégulière ou de réfugiés que la France accueille généreusement. De Marseille à Brest en passant par Soissons, les destins de ces Français ordinaires, brisés par l’immigration de masse, devraient nous interpeller. Depuis vendredi, Océane, jeune employée de Lidl, est entre la vie et la mort après avoir reçu quatre coups de couteau. Son agresseur ? Un mineur isolé, originaire de Guinée.
Face à ces drames, des médias et une partie de la classe politique choisissent le silence. Mais si rien ne change, si la politique migratoire n’est pas reprise en main, alors le sang de Français innocents continuera de couler.