LA PLUS TERRIFIANTE AFFAIRE JUDICIAIRE DE L’UE PORTE DESORMAIS UN NOM : URSULA VON DER LEYEN (1/4)

Publié le par Daniel Desurvivre

LA PLUS TERRIFIANTE AFFAIRE JUDICIAIRE DE L’UE PORTE DESORMAIS UN NOM : URSULA VON DER LEYEN (1/4)

L’Europe communautariste dirigée par des fonctionnaires omnipotents démontre chaque jour sa permissivité, son ignorance des citoyens, le rejet des particularités pour uniformiser un ‘‘européen’’ incolore, inodore et sans saveur…

Quoiqu’en disent les ‘‘eupéistes’’ de tout poil, Charles de Gaulle était très attaché à une certaine idée de l'Europe. Il joua un rôle très positif en mettant la France en mesure d'entrer dans le Marché commun et en exigeant la politique agricole commune (PAC).

A juste titre, il rejetait l'Europe supranationale et proposait une Europe des États souverains.

Aujourd’hui, force est de constater que les ‘‘États’’ qui composent l’europe sont muselés par des contraintes de plus en plus violentes décrétées par des fonctionnaires sans foi ni loi.

Scandales après scandales, le rejet de cette ‘‘europe’’ par les citoyens se fait de plus en plus sentir.

Nous publions ce jour, le 1ère partie d’une série d’articles sur les méfaits de la présidente de la commission européenne si chère à Macron et aux Centristes, parue sur l’excellent Observatoire du Mensonge

Petite-Souris-Normande-2.jpg la Petite Souris Normande

1°) La présidente de la Commission européenne épinglée pour déliquescence financière, dissimulation de preuves et délit de favoritisme

Deux plaintes en pénal visant directement la présidente de la Commission européenne, furent déposées devant la justice belge, par l’Association ‘‘BonSens’’, présidée par Xavier Azalbert, puis par Frédéric Baldan spécialiste des relations sino-européennes et consultant en charge d’un cabinet conseil ; aux motifs d’usurpation de fonctions et de titres, de destruction de documents publics, de prise illégale d’intérêts et de corruption aggravée entre conflit d’intérêt, népotisme, concussion et sans doute d’enrichissement personnel, mais aussi de négligence dans la négociation de contrats avec des firmes pharmaceutiques de droit privé pour une première somme de 36 milliards d’euros pour 1,8 milliard de doses de vaccins. À 20 euros la dose, le montant total de ces contrats, pour le seul laboratoire pharmaceutique Pfizer, porte sur 75 milliards d’euros, concernant 447 millions d’Européens, alors que sur 4,6 milliards de doses en commande, 1,1 milliard de ces doses furent périmées, d’où un gaspillage du ¼ de cette gabegie avec l’argent public consacré à ces forfaitures.

Ces transactions furent menées dans une totale illégalité, autrement dit, un modus operandi hors du cadre légal qu’imposent la législation et la réglementation européennes sur la tenue des marchés publics. Le juge d’instruction saisi par le parquet européen en charge du dossier devra se pencher sur les liens entretenus secrètement par SMS entre Ursula von der Leyen et Albert Bourla, et le PDG de la firme supranationale Pfizer, fournisseur de 80% des vaccins Covid revendus aux membres de la Communauté européenne, dont la France.

La commission européenne a refusé de fournir les éléments immatériels de ces échanges, au motif controuvé d’un droit à la confidentialité. De surcroît, ladite commission procéda à la destruction des éléments de preuve pour se soustraire à l’enquête emmenée par le procureur général européen chargé de l’investigation sur cette fraude présumée, cela depuis la seconde audition du 10 octobre 2022 avec les parties prenantes entre la Commission UE et la Sté Pfizer.

L’absence de transparence sur ces contrats financés par les fonds publics met en exergue des malversations plausibles mais inadmissibles, dont il est fait état par le secret entretenu autour des échanges de SMS entre Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer Albert Bourla, portant sur la négociation de commandes pour 1,8 milliard de doses de vaccins-Covid.

Alors que le vice-président de la commission, Margaritis Schinas prend la défense de sa patronne en prétextant qu’un tel marché ne se négocie pas par SMS, nonobstant l’absence de documents matériels attestant qu’il existe une visibilité sur la nature licite et non dissimulable des transactions, Marc Botenga pour la commission d’enquête rétorqua, « Qu’il s’agit de prendre connaissance de l’influence de ces SMS sur la négociation »…

Ce pourquoi, les députés européens en demandent copie à la Commission, laquelle regimbe à une telle requête qui pourrait la compromettre. Cette absence de coopération d’Ursula von der Leyen sur ces échanges laisse planer une lourde suspicion sur la nature de ces contrats possiblement entachés de corruption, ce que laisse entendre Rowan Dunn, coordinatrice du plaidoyer pour l’Union chez GHA.

(Suite mercredi en huit)

Daniel Desurvivre

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : ‘‘Le chaos culturel des civilisations’’ pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères. (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

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Publié dans LIBERTÉ D'EXPRESSION

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