LES ÉOLIENNES : UN CAUCHEMAR ENVIRONNEMENTAL !

Les Français étant de nature paisible, il leur faut la goutte d’eau qui fait déborder le vase pour qu’ils réalisent que leur pays est dirigé depuis des décennies par une clique qui se moque éperdument d’être élue pour harmoniser la vie de leur concitoyens et non pour défendre des intérêts mercantiles imposés par les fonctionnaires de Bruxelles et les sbires d’Ursula von der Leyen.

La goutte d’eau qui effleurait le rebord du vase aux dernières législatives a permis d’envoyer à l’Assemblée nationale des hommes et des femmes à l’écoute de leurs concitoyens, excluant par-là même toute dictature gauchiste, mais cependant pas assez pour être majoritaires. Et, la Constitution le permettant, des lois sans approbation du Parlement sont imposées par le Président de la République et ses valets.

C’est ainsi que, pour cirer les pompes des adorateurs d’éoliennes, l’on voit fleurir ces monstres métalliques à coups de subventions gigantesques, qui faute de vent ne servent à rien sinon à abîmer le paysage et à importuner son voisinage. D’une durée de vie d’environ 10 ans, elles sont ensuite expédiées en Afrique où elles contaminent le sol… Quatre pays d’Europe ont interdit la mise en décharge des pales d’éoliennes : l’Allemagne, l’Autriche, les Pays-Bas et la Finlande. Et la France ? Silence des écolos !

D’autre part, dans une étude publiée dans Le Chasseur Français, il faut prévoir entre 100.000 et 120.000 euros pour enlever l’éolienne et ses fondations, et en y intégrant le coût industriel (du démantèlement et recyclage), cela représente 400.000 euros. On risque de se retrouver avec des entreprises qui n’auront pas les reins assez solides pour payer ces sommes et qui risquent de mettre clés sous la porte et laisser les éoliennes à l’abandon !!!!

Macron ayant sciemment délaissé notre industrie nucléaire, nous sommes obligés d’acheter à vil prix de l’électricité à l’étranger, sauf à la Russie dont les prix défiaient toute concurrence…

La guerre en Ukraine mobilise nos médias macronistes afin d’occulter l’envolée spéculative des prix de l’électricité et des produits de consommation. Et les pluies récentes dans le sud de la France ont mis au rebut ‘‘l’urgence climatique’’ si chère aux ‘‘Amis de la nature’’…

Voilà dans le désordre, une courte énumération de l’anarchie gouvernementale soutenue par une majorité d’intérêts.

  GILDEVER