33 POINTS QUI INDIQUENT QUE LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE EST CAUSÉ PAR LE SOLEIL ET NON PAR LE CO2 (3/8)
6A) Les ‘‘modèles climatiques’’ informatiques (par des ‘‘scientifiques du climat’’; point 3) sont si remplis d’hypothèses imbriquées dans d’autres hypothèses, qu’ils sont au mieux très trompeurs, par exemple, les prévisions de réchauffement de 1985 à 2015 par 31 modèles se sont avérées 2 à 4 fois trop élevés. Même Wiki, pro-GIEC, (Point 29) a admis : « Chaque simulation de modèle a une supposition différente sur les processus que les scientifiques ne comprennent pas suffisamment bien ».
6B) Les modèles climatiques ignorent trois facteurs cruciaux : (i) les rétroactions naturelles des nuages et des aérosols-nuages (Point 5C); (ii) d’importants changements dans l’activité magnétique solaire (SMO ; point 12A), entraînant des changements de température globale selon la théorie de Svensmark, niée par le GIEC (point 14), qui dit de manière hypocrite « l’irradiance solaire totale » (TSI ; varie en fonction de SMO mais proportionnellement beaucoup moins) varie beaucoup trop peu pour affecter le climat, donc le CO2 doit être le responsable ; de même le CRU (Point 2B) et la NASA, qui est allée jusqu’à publier « Atmospheric CO2 : Principal Control Knob Governance Earth’s Temperature » en 2010 ; (iii) le «décalage océanique», le délai de plusieurs décennies entre les changements de SMO et les changements corrélatifs de température (Point 21). Ces trois défauts du GIEC, le ‘‘déni du soleil’’, l’omission du décalage océanique et la sous-estimation de la rétroaction.
7A) Pendant une grande partie des 550 derniers millions d’années (Phanérozoïque), le CO2 atmosphérique était de 2 à 10 fois plus élevé qu’aujourd’hui. L’évolution a prospéré. La photosynthèse des plantes, la base de toute vie, a été stimulée par une augmentation du CO2 (Point 8). Les événements d’extinction dus à une surchauffe par le CO2 sont inconnus.
7B) Tout au long du Phanérozoïque, le CO2 semble bien corrélé avec la température (bien que toutes les études aient inévitablement une faible résolution). Cela s’explique facilement par le réchauffement des océans libérant du CO2 et vice versa (Points 9 et 10).
(Suite la semaine prochaine)
Roger Higgs a obtenu un doctorat. en économie de l'Université Johns Hopkins et a occupé des postes d'enseignement à l'Universté de Washington, au Lafayette College et à l’Université de Seattle. Il a également été chercheur invité à l’Université d’Oxford et à l’Université de Stanford. Il a occupé un poste de professeur invité à l'Université d’économie de Prague en 2006, et a supervisé des thèses au doctorat. programme à Universidad Francisco Marroquin, où il est actuellement professeur honoraire d'économie et d'histoire.