33 POINTS QUI INDIQUENT QUE LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE EST CAUSÉ PAR LE SOLEIL ET NON PAR LE CO2 (6/8)
16) Lockwood (Point 15) a montré que le flux magnétique solaire moyen a augmenté de 230% de 1901 à 1995, c’est-à-dire qu’il a plus que doublé. Le réchauffement en cours (retardé par l’océan) qui a suivi le refroidissement de 1945-75 (Point 5) a été entraîné par cette onde solaire, via l’effet Svensmark (Point 14), retardé par l’inertie de l’océan (Point 21), qui assurera la continuité du réchauffement pendant encore plusieurs décennies. Les points 17 et 18 soutiennent également la théorie de Svensmark.
17) Après le Grand Maximum solaire ~ 300 après JC (point 12), entre 350 et 450 la température moyenne mondiale s’est réchauffée pour se rapprocher de la valeur actuelle. Le refroidissement ultérieur en « dents de scie » a limité le déclin en dents de scie du Soleil pendant 1.000 ans, du petit âge glaciaire (point 9).
18) Dans « l’optimum climatique de l’Holocène » (point 20) s’étendant de 8 000 à 2 000 avant JC, la Terre était plus chaude qu’aujourd’hui, à l’exception d’environ cinq intermèdes de quelques décennies chacun. Le refroidissement instable de 3000 av. J.-C. au petit âge glaciaire (point 9) s’est accompagné d’un déclin solaire instable.
19) Ce refroidissement de 4 500 ans se moque des modèles informatiques du GIEC, qui prédisent plutôt un réchauffement par l’augmentation simultanée (lente) du CO2. Il s’agit de « l’énigme de la température de l’holocène » de Liu et al. (2014). Voir aussi Puce 6.
20) De manière embarrassante pour le GIEC, l’intervalle chaud 8000-2000 avant JC (Point 18) était déjà appelé « l’optimum climatique de l’Holocène » (Wiki) avant que l’erreur « CO2 = polluant » du GIEC n’induise l’hystérie d’aujourd’hui et une dépense inutile de plusieurs billions de dollars. La chaleur peut avoir profité au développement des civilisations humaines.
21) Depuis au moins les 1.700 dernières années, le réchauffement/refroidissement global en dents de scie est bien corrélé à l’activité magnétique solaire (puce 12) en appliquant un décalage de « mémoire océanique » de 60 à 160 ans (variant avec le temps), attribuable à l’inertie thermique océanique (vaste volume océanique, capacité calorifique élevée et circulation/mélange lents ; point 6), provoquant une réponse retardée aux changements du flux solaire-magnétique, d’où la nébulosité, qui régit la température globale (point 14).
22) Le GIEC affirme que le réchauffement climatique en cours, malgré l’affaiblissement solaire (depuis 1991 ; point 12), disqualifie le Soleil comme cause du réchauffement. Cela ignore de manière hypocrite le décalage temporel causé par l’inertie thermique océanique, dont le GIEC est bien conscient, et qui aligne les « hauts et les bas » (« dents de scie ») passés du Soleil sur les hauts et les bas de la température globale ( Point 12). Ainsi, l’un des trois piliers sur lesquels repose le dogme du « réchauffement climatique anthropique (d’origine humaine) » est démoli. Les deux autres, à savoir (i) le réchauffement et l’accélération simultanés du CO2 depuis 1850 (une coïncidence fortuite ; Point 24), et (ii) l’élévation du niveau de la mer de 30 cm depuis 1850, supposément sans précédent en 2 000 ans (Puce 26), sont tout aussi faciles à rejeter.
23) La dernière période interglaciaire, il y a environ 120.000 ans, était plus chaude que notre interglaciaire Holocène. Les humains et les ours polaires ont survécu ! Le CO2 était alors d’environ 275 ppm, c’est-à-dire plus bas que maintenant (Point 8), à une époque de plus grande chaleur !
(Suite la semaine prochaine)
Roger Higgs a obtenu un doctorat. en économie de l'Université Johns Hopkins et a occupé des postes d'enseignement à l'Universté de Washington, au Lafayette College et à l’Université de Seattle. Il a également été chercheur invité à l’Université d’Oxford et à l’Université de Stanford. Il a occupé un poste de professeur invité à l'Université d’économie de Prague en 2006, et a supervisé des thèses au doctorat. programme à Universidad Francisco Marroquin, où il est actuellement professeur honoraire d'économie et d'histoire.