‘‘JOURNALISTE’’ DE LIBÉ, BERNADETTE SAUVAGET S’ACHARNE SUR LES PARENTS DU PETIT ÉMILE

Publié le par Daphné Rigobert

‘‘JOURNALISTE’’ DE LIBÉ, BERNADETTE SAUVAGET S’ACHARNE SUR LES PARENTS DU PETIT ÉMILE

Bernadette Sauvaget, journaliste à Libération… auteur de documentaires, est dite spécialiste des questions de religions. De 2008 à 2013, elle a été la présidente de l’Association des journalistes d’information religieuse… et donc cela lui confère apparemment le droit de décréter qui est un bon ou un mauvais catholique ! Qui est respectable, qui ne l’est pas !

Jusqu’alors, nous ignorions tout de madame Sauvaget, ses responsabilités laissent présumer qu’elle serait catholique et travaillant pour Libé… surtout catho de gauche…

https://www.liberation.fr/auteur/bernadette-sauvaget/

‘‘JOURNALISTE’’ DE LIBÉ, BERNADETTE SAUVAGET S’ACHARNE SUR LES PARENTS DU PETIT ÉMILE

Bernadette Sauvaget, bonne catholique, ordinaire…

Pour remercier l’extraordinaire mobilisation autour des recherches mais également pour laver un honneur que les experts en salissures ordurières ont traîné dans la boue, les parents du petit Émile, tragiquement disparu… ont accepté de répondre à une interview car « Certains médias se sont permis de raconter n’importe quoi sous prétexte que nous étions cathos », a déclaré Colomban, le père de l’enfant.

Interrogé sur BFM TV consécutivement à la parution de cette interview dans Famille chrétienne, ce fut haro sur ce jeune couple, sans en évoquer la cause… Ce magazine appartient à Vincent Bolloré et personne n’en a parlé… préférant, comme Bernadette Sauvaget, évoquer des liens improbables et non avérés avec « des associations en lien avec Bernard Antony… ».

« Il y a malaise autour de leurs convictions catholiques, ce ne sont pas des catholiques ordinaires (…) ils sont liés à des organisations catholiques qui sont très liées à l’extrême droite (…) Il y a une dimension politique dans cette interview qui crée la confusion…»

Quel malaise ? Qui crée la confusion ?

Il est très facile de jeter des noms en pâture à ceux qui ne les connaissent pas, pour insinuer des abominations. Bernard Antony est le président de l’AGRIF, l’Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne, association fondée en 1984, qui lutte, principalement par voie juridique, ‘‘contre le racisme antifrançais et antichrétien, la pornographie et les atteintes au respect de la femme et de l’enfant’’.

À l’évidence, madame Sauvaget n’a de catholique qu’une vague estampille, tant ses déclarations sont effrayantes et sans une once de compassion vis-à-vis de cet enfant et de ses parents.

Outre le fait que rien n’est prouvé quant à la proximité du jeune couple avec l’AGRIF, association plus qu’honorable, il ressort que le sort du petit Émile devient plus spécieux puisque appartenant à une famille de réprouvés traditionalistes…

« Pire que du racisme ! »

Entendant ces déclarations intolérables, André Bercoff, sur Sud Radio, est entré dans une colère noire, déclarant que madame Sauvaget avait « un raisonnement stalinien , pire que du racisme ! ».

Il ressort que ce bambin blond, n’appartenant ni à l’immigration ni à une famille bien-pensante wokisée, sa disparition est moins importante et pourquoi pas liée à des messes en latin…

« Sombre paradoxe d’une société qui regarde avec soupçon ces familles qui vont à la messe mais qui croit aux esprits. Étrange virage sociétal dans lequel les curés exercent un « commerce non essentiel » car tel l’avaient édicté le gouvernement et la science mais dont cette dernière ne peut que « rester modeste » devant les guérisons inexpliquées de Lourdes. Au fond, au lieu de s’interroger sur un absurde lien entre la religion des parents et la disparition de leur fils, certains journalistes auraient pu se demander comment ces parents parviennent à rester debout et à ne pas sombrer eux aussi. Sans doute auraient-ils vu la foi comme autre chose que de la superstition ou quelque tare qu’il est urgent de mettre à nu » a écrit Marc Eynaud dans Le Figaro

Zoom sur cette presse stipendiée qui persécute la famille du petit Émile…

Au début, bien que fort malsain, cet « intérêt » pour l’effroyable disparition du petit Émile était « compréhensible »… Toutefois, rapidement, patronymes et prénoms de la famille ont été divulgués : ils étaient atrocement français…

Les charognards ont fouillé partout car le papa d’Émile aurait eu des accointances avec des mouvements du type Génération identitaire. Et alors ?

Il aurait milité pour Soulèvements de la Terre et son épouse se serait promenée seins nus, l’on aurait respecté leur douleur.

Et voilà que depuis quelques jours ça repart très fort !

Émile allait peut-être entrer à l’école…

Sous couvert de s’apitoyer sur leur drame, les médias, que le remarquable maire du Vernet a tenté d’écarter, se défoulent en inventant ou en imaginant…

« Près de deux mois après la disparition du petit garçon de deux ans et demi dans le hameau du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), sa famille appréhende son retour dans la commune de La Bouilladisse (Bouches-du-Rhône).

Aperçu dans son jardin par des voisins. Ni plus, ni moins. Le grand-père du petit Émile a récemment quitté la maison familiale du Vernet pour rejoindre celle de La Bouilladisse, au nord d’Aubagne.

L’homme, connu de ses patients pour son professionnalisme et ses qualités médicales, n’a toujours pas repris son activité d’ostéopathe. Le répondeur téléphonique dit pourtant que le cabinet doit rouvrir le 21 août. Mais personne ne sait quand le praticien va remettre la blouse ».

« Chaque année, c’est ainsi. Il ferme en juillet et retourne travailler en août. Il a une grande famille à nourrir », compatit, depuis sa maison du Vernet, une proche de la famille d’Émile. Elle est l’une des rares habitantes à avoir eu la grand-mère au téléphone depuis le samedi 8 juillet et la disparition du petit garçon.

“Ils sont anéantis et tellement tristes. Minés par ce que les voisins osent dire et penser d’eux. Certains vont même jusqu’à lui reprocher d’aller à la piscine alors que ça fait des années qu’elle s’y rend tous les matins. Il y a encore des enfants et une vie à reprendre. Qu’on leur fiche la paix!”, peste cette amie de longue date.

« Celles et ceux qui ont récemment croisé les proches d’Émile au Vernet ces derniers jours sont unanimes : les membres de la famille sont dévastés. En voiture, à pied ou à cheval, ils baissent la tête et ne veulent croiser le regard de personne ou presque ».

On les traque jusque dans la pratique de leur religion, d’autant plus qu’ils sont catholiques dits traditionalistes… assimilés à l’extrême droite… Donc on peut cogner !

« Selon les informations de BFM DICI, la famille très pieuse a même décidé de changer de paroisse pour participer à la messe dominicale afin de ne pas être reconnue loin du Vernet ou de Seyne ».

On les épie… Une famille nombreuse, cela fait du monde. Il y a de quoi se distraire…

“Quand il ne fait pas du tennis, l’un des jeunes oncles d’Émile va randonner. Et même s’il ne parle pas de la disparition, on le sent très marqué, très touché”, souffle une habitante dont les petits-cousins participent à ces balades.

“Quant à la grand-mère d’Émile, elle est encore plus discrète que d’habitude. Elle apprécie l’effort qui a été fait ici pour préserver leur tranquillité. Le pire, c’est quand ils vont retourner en bas.”

« “En bas”, c’est dans le sud, à La Bouilladisse, Marseille, Toulon ou Aubagne. Le monde, les voisins, les commerçants ou les copains des clubs de sports et le regard compassionnel ou suspicieux de leurs parents. Si les plus jeunes oncles et tantes d’Émile bénéficient de la souplesse et de la discrétion de l’école à la maison, les plus grands, eux, doivent retrouver les bancs de leurs études supérieures ou tout simplement la vie active ».

La grand-mère d’Émile ose continuer à se rendre régulièrement à la piscine, peut-être pour des raisons médicales… Qu’est-ce à dire ? Le grand-père serait déjà reparti mais n’aurait pas encore rouvert son cabinet d’ostéopathie…

Il est probable aussi que cette famille continue aussi à s’alimenter, ne serait-ce que pour tenir…

L’on ne peut même pas espérer que les déclarations vipérines de Bernadette Sauvaget, cette belle âme… soient les dernières… Comme il est inutile d’espérer que cette presse ignoble manifeste un semblant de respect, préservant la « quiétude » de cette famille dévastée.

L’on ne peut que penser à eux ou, selon nos convictions, prier pour que leur retour dans leur petite commune d’environ 6.000 habitants soit le moins éprouvant possible.

Qu’à l’abomination ne s’ajoute pas davantage de persécution.

Publié dans RIPOSTE LAÏQUE

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