PROPOSITIONS DE ‘‘LA CONVENTION’’ SUR LE LOGEMENT & L’HABITAT
A Saint-Brieuc, ce samedi 14 octobre, plus de 400 personnes se sont réunies pour participer au débat sur ‘‘le logement et l’habitat’’ organisé par Bernard Cazeneuve dans le cadre de ‘‘La Convention’’ qu’il anime pour redonner des couleurs tricolores à une gauche démocrate, torpillée par les mélenchonistes extrémistes d'ultragauche et anti-républicains.
Compte tenu des événements survenus ce vendredi au Proche Orient, Bernard Cazeneuve a tenu à ouvrir les débats par « Nous avons décidé que nous changerions l’ordre du jour de cette réunion, non pas pour abandonner le thème qui nous rassemble, mais simplement pour faire en sorte qu’en introduction, à cet après- midi, nous puissions évoquer les préoccupations qui sont les nôtres face à la haine qui monte, face à l’antisémitisme qui renaît, face aux attaques répétées, contre les principes et les valeurs universelles que notre pays et la République ont longtemps et souvent porté comme un étendard aux yeux du monde ».
« Le terrorisme a frappé. Le terrorisme qui porte un nom, l’islamisme, dont Yonathan Arfi, le président du CRIF, avait raison de rappeler à l’instant qu’il est une idéologie qui a pour caractéristique d’heurter partout où elle s’exprime et quelle que soit la forme qu’elle prend, tous les principes et toutes les valeurs que nous avons en partage. Nous sommes ici des militants de la laïcité ».
Puis, Bernard Cazeneuve d’énumérer les attentats meurtriers perpétués sur note sol par des islamistes : « Il n’y a aucune cause juste, jamais, qui puisse légitimer de quelque manière que ce soient toutes ces souffrances que je viens d’évoquer, toutes ces blessures imposées à des femmes et des hommes qui ne demandaient qu’à vivre en paix et en liberté. Qui peut considérer autrement le Hamas que comme une organisation terroriste, violente, barbare qui a fait subir un martyr à des femmes, des hommes, des familles qui ne méritaient en aucun cas le sort terrible qui leur fut réservé par ces êtres ivres de haine ».
« …Et quelle que soit la passion que vous avez pour la chose publique, la politique, les convictions qui sont les vôtres et dont je sais qu’elles sont ardentes, ne vous laissez pas aller à la pente qui consiste à tout abaisser lorsque tout est si fragile. Je ne vous dirai rien d’autre aujourd’hui que ce que je viens de vous dire, car les circonstances nous obligent à cet esprit de responsabilité ».
Avant d’ouvrir la séance de travail sur ‘‘le logement et l’habitat’’, le Président de ‘‘La Convention’’ proposa d’observer une minute de silence en mémoire des victimes du terrorisme.
La semaine prochaine, je vous ferai part des travaux et échanges sur ‘‘le logement et l’habitat’’ qui concernent nombre d’habitants de notre pays.