LA COUR EUROPÉENNE DES DROITS DE L’HOMME : PARLONS-EN !
Marine Le Pen a confirmé publiquement que dans l’éventualité où Jordan Bardella serait Premier ministre, son gouvernement remettrait à zéro les financements de multitudes organisations nationales et internationales qui sont des gouffres financiers dont le seul objectif est de s’opposer à toutes décisions nationales au profit d’un système international opaque et intouchable.
C’est notamment le cas de ‘‘la cour européenne des droits de l’homme’’ qui s’évertue à sanctionner les gouvernements pour leur soi-disante inaction climatique… C’est toujours plus facile de condamner un pays par les temps qui courent qui fait face aux multiples problèmes quand on perçoit des sommes vertigineuses des dits pays.
Thierry Mariani, le parlementaire européen du Rassemblement National, avait interrogé le Ministère des Affaires étrangères le 16 décembre 2014 sur l’opacité financière et administrative de la Cour européenne des droits de l’homme. Réponse embrouillée lui avait été donnée le 10 mars 2015 notamment que ‘‘L'article 50 de la Convention européenne des droits de l'Homme stipule que : ‘‘les frais de fonctionnement de la Cour sont à la charge du Conseil de l'Europe’’…
Pour information : la rémunération mensuelle de chaque juge, (ils sont 47) s'est élevée à 18.050 euros en 2014. Elle est fixée par l'article 3 de la résolution (2009)5, modifiée en mars 2013 par la résolution (2013)4, sur le statut et les conditions de service des juges de la Cour européenne des droits de l'Homme et du Commissaire aux droits de l'Homme. Ce budget global repose sur les contributions provenant des 47 Etats membres…
Face aux empiètements systématiques des multiples structures qui ont plaisir à censurer nos États qui les financent, il devient urgent que le prochain gouvernement signifie que les lois ultimes sont les lois votées par les parlements nationaux sauf à juger de leur inutilité.