CE QUI COMPTE LE PLUS C’EST L’INTÉGRITÉ ÉLECTORALE

Publié le par Magali Marc

CE QUI COMPTE LE PLUS C’EST L’INTÉGRITÉ ÉLECTORALE

Pendant que les Démocrates continuent leur cirque de prétendue remise en question de la candidature de Joe Biden – dont ils connaissaient les problèmes cognitifs depuis des lunes – la question de la fraude électorale demeure un problème que les Républicains doivent affronter État par État.

RIEN N’EST PLUS IMPORTANT QUE L’INTÉGRITE ÉLECTORALE

Avec toutes les questions et les problèmes qui entourent les prochaines élections de 2024, le sujet tabou demeure la possibilité écrasante de fraude électorale. Rien d’autre n’est plus important.

D’une certaine manière, il est devenu démodé de mentionner ce sujet. Rien que pour cela, il s’agit d’une évolution dangereuse. D’une manière ou d’une autre, l’incident (et non l'”insurrection”) du 6 janvier 2021 a été transformé en un “mème” selon lequel seuls les théoriciens irrationnels de la conspiration pourraient croire qu’une fraude électorale à grande échelle pourrait se produire lors d’une élection nationale.

Les mots “aucune preuve” sont régulièrement accolés au soi-disant “déni d’élection” du Président Trump, alors qu’en fait, des montagnes de preuves ont été produites à l’époque, et que d’autres ont été découvertes depuis.

Au lieu de mettre en garde contre la vulnérabilité des bulletins de vote par correspondance et des boîtes de dépôt, qui sont très susceptibles d’être fraudées, les experts, même à droite, perdent leur temps à mesurer le nombre d’électeurs et les caractéristiques démographiques qui penchent en faveur de Donald Trump.

[NdT: En fait, la campagne présidentielle de Donald Trump et le Comité national républicain dirigé par Lara Trump (l’épouse du fils de l’ex-Président, Éric Trump) ont annoncé en avril dernier une vaste opération d'”intégrité électorale”, promettant de déployer 100.000 bénévoles et avocats dans les États-charnières afin de “protéger le vote et assurer une grande victoire” en novembre.1]

Cela n’aura pas d’importance.

L’élection du gouverneur de l’Arizona en 2022 est une étude de cas qui montre comment un candidat, en tête avec onze points de pourcentage, peut soudainement perdre lorsque les machines à voter fonctionnent mal au moment critique. Chaque irrégularité dans chaque élection semble toujours favoriser le candidat démocrate, jamais le candidat républicain. La loi de Murphy (qui dit que « Tout ce qui est susceptible d’aller mal ira mal ».) était censée être impartiale, et non intentionnelle.

La question clé est maintenant la suivante : au lendemain des élections de novembre de cette année, les résultats seront-ils crus ? Seront-ils acceptés ? Il est presque certain que si Donald Trump domine le décompte des voix à minuit, mais qu’à 3 heures du matin, il a perdu juste assez de voix pour installer le candidat démocrate, il y aura un sentiment de déjà-vu, de coïncidence impossible, de criminel revenant sur les lieux du crime.

L’autre grande question concerne une victoire de Donald Trump si évidente que le déni fera l’objet d’un nouveau sketch du Saturday Night Live (comme en novembre 2016), dans lequel les anti-Trump seront à nouveau ridiculisés.

La question sera alors de savoir ce que fera l’État profond. Ses membres seront confrontés à un choix existentiel. Soit ils perdront leur pouvoir et subiront le sort des cafards lorsque les lumières sont allumées, soit ils auront recours à une véritable insurrection – pas seulement une émeute, mais une véritable prise de pouvoir anticonstitutionnelle.

Ce qui est vraiment effrayant, ce n’est pas tant ce qui pourrait se passer en novembre, mais plutôt avant.

Si la gauche radicale en vient vraiment à croire qu’elle ne peut pas vaincre Donald Trump par des moyens honnêtes ou par la fraude en novembre, la perspective de tenir une quelconque élection pourrait être inacceptable pour elle.

La Chine et la Russie nous observent.

DONALD TRUMP PEUT DÉMONTRER QU’IL Y A EU DE LA FRAUDE ÉLECTORALE EN 2020 

Traduction de Magali Marc (@magalimarc15)

pour Dreuz.info.

Source : American Thinker

  Magali Marc a été directrice des communications dans diverses ONG tout en complétant une Maîtrise et un Doctorat en Science politique à l’Université de Montréal. Elle a enseigné la Sociologie du Québec ainsi que l’Histoire de la Constitution canadienne dans un collège bilingue de Montréal pendant plus de dix ans. Elle a publié de nombreux articles et textes d’opinion dans diverses revues à Montréal. Elle est l’auteur d’un cahier pédagogique d’histoire pour le Secondaire V, Les Défis du XXe siècle (2013, LIDEC éditeur).

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