BRÈVES DE COMPTOIR... par Charlem
UNE COALITION ENTRE LA MACRONIE ET LA DROITE
Comme à son habitude, les gauches socialo-marxistes composées des Mélenchonistes, des Fauristes et de ce qu’il reste des Khmers Verts, font pression médiatique pour accéder à Matignon. Pour ce faire, ils se sont entendus sur le nom de Lucie Castets, l’excellente économiste qui, à la tête des finances de la Ville de Paris laisse une dette de plus de 8 milliards… et décemment devrait baisser son caquet !
Lucie Castets prévoit d'augmenter les recettes fiscales de l'Etat de 150 milliards d'euros via des hausses d'impôts. Elle est favorable à une progressivité de l'impôt sur le revenu avec un barème à 14 tranches, au rétablissement de l'impôt sur la fortune, qui fera fuir les investisseurs, à l'augmentation de la taxation du patrimoine et à la taxation des exilés fiscaux français… Tout un programme…
Le Président, détestant, à juste titre, les pressions, serait tenté de nommer Lucie Castets, sachant que son gouvernement serait immédiatement censuré.
Il semble probable qu’Emmanuel Macron désigne un premier ministre qui aurait l’aval d’une coalition entre la Macronie, la Droite Républicaine (Laurent Vauquiez), les Démocrates (Marc Fesneau), Horizon & Indépendants (Laurent Marcangeli), Liot (Stéphane Lenormand) soit 213 députés avec le soutien de Gérard Larcher et celui tacite du Rassemblement National.
Comme dirait une collègue verte de Marie Toussaint : « c’est le cauchemar qui se profile ! »
QUAND LE ‘‘MACHIN’’ ONUSIEN NE SERT À RIEN !
Au lieu d’harceler les démocraties, l’ONU serait mieux avisée de combattre les dictatures qui sévissent sur notre planète. Comme le souligne Luc de Barochez dans ‘‘Le Point’’ : en Afghanistan, les talibans ont publié une cinquantaine de décrets islamiques restreignant de manière draconienne l’accès des femmes à l’éducation, à l’emploi, à la santé, à la justice. Elles sont aussi interdites de travailler dans le secteur public, les universités, les médias, les salles de gym, etc… D’autre part, les médecins hommes n’ont plus le droit d’ausculter les Afghanes. Ce qui fait que plus aucun hôpital ne traite le cancer du sein.