OUF ! LE ‘’PACTE VERT’’ A DU PLOMB DANS L’AIR !
Peu avant les ‘‘Européennes’’, les technocrates de la dite ‘‘cour européennes des droits de l’homme’’ ,dont la France serait bien avisée d’arrêter les financements, décidaient de ‘‘la responsabilité des États de traiter du changement climatique’’…
Mise en pause lors de la pandémie du Covid19, le combat écologique suscité par les mouvements dits ‘‘écologiques’’ (5,50% aux Européennes) s’essouffle face à la décision radicale de plusieurs pays européens.
LE GREENBLAMING
La Suède, dont les médias européens nous ont bassinés avec l’infâme et puérile activiste, âgée de 16 ans, qui ferait bien de retourner à l’école, Greta Thunberg (dont Hervé Morin était fier de lui décerner le prix ‘‘Liberté’’), la Suède, dirigée depuis 2022 par une coalition de Droite réelle (et non centriste) qui a été élue sur la promesse de s’occuper du peuple qui les a plébiscité en promettant de renforcer le pouvoir d’achat des ménages, la Suède, a décidé de réduire la part des bio-carburants dans le diesel et l’essence afin d’en faire baisser les prix pour permettre aux travailleurs de se rendre au boulot sans être rackettés comme sous Macron.
Depuis le 2 juillet, les Pays-Bas sont dirigés par une coalition de Droite classique et de Droite réelle qui sous l’impulsion de Geert Wilders ont abandonné la réduction des énergies fossiles, quant au Royaume-Uni, il a été décidé l’exploration de nouveaux champs pétroliers.
Grâce à la colère des Agriculteurs en Europe, et en France, de la Confédération Paysanne, les bras cassés de Bruxelles ont été obligés de renoncer à réduire d’ici à 2030 de moitié l’utilisation des pesticides en incitant tous ces fonctionnaires Bruxellois, grassement payés, à financer des recherches pour des traitements moins polluants.
Ces mêmes fonctionnaires et les élus du Parlement Européen qui les soutiennent, au lieu de financer grassement le Giec, financé par les magnats de l’Agro-alimentaire, devraient s’intéresser aux propositions de l’Association des climato-réalistes.
Le 9 juin dernier, les électeurs français, en concédant 5,50% des suffrages aux Khmers verts ont exprimé que, face à la pauvreté grandissante et à l’invasion venue d’Afrique nord-saharienne, le climat n’était pas une priorité.