LA GUERRE DE RELIGION EST EN MARCHE, LE POUVOIR REFUSE DE LA NOMMER !

Publié le par Sidney Touati

LA GUERRE DE RELIGION EST EN MARCHE, LE POUVOIR REFUSE DE LA NOMMER !

Depuis le 15 août 2005, date du retrait des Israéliens de la Bande de Gaza, les Palestiniens jouissent d’une totale autonomie, s’administrant selon leur volonté exprimée par le suffrage universel.

Ceux de la Bande de Gaza ont choisi le Hamas, lequel a instauré une dictature religieuse et commencé par massacrer et chasser les Palestiniens de l’OLP. Israël, sous pression internationale permanente, a respecté ce choix.

Bénéficiant d’une aide internationale extraordinaire, le Hamas a affecté une importante partie de cette manne, à la construction de tunnels, au recrutement, à l’équipement et l’entrainement d’une armée de 30.000 hommes…

Le Hamas et autres groupements islamistes, n’ont jamais cessé de harceler Israël en bombardant sans cesse les populations civiles.

Israël a toujours fait montre de patience, de retenue dans la riposte. Le Hamas, protégé, encouragé par l’opinion publique internationale, en a profité pour préparer, avec l’appui de l’Iran et du Hezbollah, la monstrueuse attaque du 7 octobre 2023 au cours de laquelle des milliers de civils israéliens ont été assassinés, blessés, enlevés, dans des conditions horribles.

En tant que peuple ayant choisi le Hamas comme représentant et comme gouvernant, les Palestiniens de la Bande de Gaza portent la responsabilité de cette agression.

Il est normal qu’ils en subissent les conséquences.

Cependant, en dépit de la responsabilité totale des Palestiniens dans le déclenchement des hostilités, du fait de leur complicité active ou passive avec le Hamas, l’armée israélienne, seule armée en guerre à agir de la sorte, continue à faire tout ce qui est en son pouvoir, pour épargner les civils, lesquels sont systématiquement appelés à quitter les zones de guerre.

A l’inverse, les soldats du Hamas utilisent les civils comme bouclier humain, installant ses dépôts d’armes, ses QG dans des hôpitaux, écoles, etc. les transformant de facto en bâtiments militaires.

En condamnant injustement Israël, en mettant l’agressé sur le même plan que l’agresseur, le monde se fait le complice du Hamas et du Hezbollah qui instrumentalisent cyniquement les populations civiles.

Pour obtenir la paix, l’ONU devrait fermement condamner cette drôle d’armée du Hamas et du Hezbollah qui se cache dans les tunnels, abandonnant les civils qu’elle a pour mission sacrée de protéger.

En Angleterre, pendant les bombardements, les soldats étaient dehors et les civils dans les abris. Dans la Bande de Gaza et au Liban, c’est l’inverse qui se produit. Les soldats du Hamas et du Hezbollah sont planqués dans les abris pendant que les civils ont l’impérieuse obligation de s’offrir en sacrifice pour que l’opinion mondiale se retourne contre Israël.

L’ONU ne devrait pas tomber dans ce piège aussi grossier que sinistre. Il devrait exiger la libération sans condition, de tous les otages.

L’ONU devrait appeler le Hamas et le Hezbollah à capituler dès lors que ces derniers ne peuvent gagner la guerre qu’ils ont au demeurant, déclenchée. Même les nazis ont fini par capituler.

Israël, en se fixant comme objectif la neutralisation totale du Hamas et du Hezbollah, est dans son droit le plus strict.

Israël se bat, non seulement pour assurer à sa population la sécurité, mais aussi contre le fanatisme islamique qui menace la paix dans le monde.

Les évènements du 7 octobre 2023 ont montré que le combat du Hamas, du Hezbollah et de l’Iran, a pour objectif de détruire en tout premier lieu Israël, mais d’une manière générale, d’instaurer la dictature de la charria dans le monde entier.

Tous les pays qui possèdent d’importantes populations musulmanes (à commencer par les pays arabes suivis par de nombreux pays européens) savent qu’ils sont dans le viseur des terroristes islamistes, et que la guerre de religion est prête à éclater et à tout dévaster.

En France, le malaise est palpable. Les actes antisémites explosent. Mais pas qu’eux. L’égorgement d’un enseignant qui s’inscrit dans la liste déjà longue d’assassinats – le Bataclan, Nice, Merah… – ne sont-ils pas les signes les plus aveuglants de cette guerre qui depuis le 7 octobre 2023 dit son nom, mais que le pouvoir refuse de nommer ?

© Sydney Touati 

Publié dans DREUZ INFO

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