HALTE AUX DÉBORDEMENTS !

Publié le par Patrick ROBERT

HALTE AUX DÉBORDEMENTS !

Ma rivière, l’Iton, je ne l’ai jamais vue aussi haute et menaçant de déborder.

Impossible de ne pas faire un parallèle avec l’obscène débordement de haine observé avec tristesse lors de la « célébration » du décès de Monsieur Jean-Marie Le Pen.

Quand tout déborde de haine, il faut craindre le pire.

Cette horde de « jeunes décérébrés », totalement incultes, probablement étudiants à Sciences Po et ignorants tout de l’histoire de France nous a donné un bien affligeant spectacle, tellement  bête qu’il est inutile de le commenter : Ils et elles ne le méritent pas.

Il est plus intéressant de s’intéresser à la personnalité et à l’histoire du Menhir Breton, c’est un évident pléonasme de parler de Menhir Breton

Fils unique d’une famille de pêcheur à la Trinité sur mer, son papa, pêcheur de soles, a été tué en relevant son filet par une mine Allemande et on a osé comparer JM Le Pen à Hitler, quelle bêtise, quel mépris, quelle ignorance…

A l’image des hommes de l’île de Sein, les premiers à rejoindre de Gaulle en Angleterre, JMLP s’est engagé dans l’armée Française dès ses 18 ans pour défendre son pays, la France, en Indochine et en Algérie.

Pour payer ses études de droit, il a fait toutes sortes de « petits métiers » et, à l’instar de Forrest Gump, il aurait pu faire fortune quand il a réussi à acheter un langoustier accompagné par ses potes Bretons : De Kersauson et Tabarly, excusez du peu.

Pour faire court, il hérite ensuite de la fortune d’un éditeur, ce qui lui permet de se lancer en politique.

Curieux paradoxe, alors qu’il avait traversé des guerres horribles sans dommage personnel, c’est au cours d’un meeting politique qu’il perdra son œil gauche.

D’aucuns y verront, si j’ose dire, un clin d’œil de l’histoire.

Certes, l’affreux antisémite qu’était JM Le Pen mérite la plus totale réprobation.

Pour autant, cet homme cultivé, j’allais dire auto-cultivé, était un personnage infiniment respectable : Le premier à avoir perçu le grand danger du « grand remplacement » et surtout un homme qui n’a jamais dévié un instant de ses convictions.

Alors respectons-le, respectons la douleur de sa famille, respectons le personnage, même si, comme moi on ne partage pas une once de ses idées.

Au moins c’était un personnage constant et authentique qui n’a jamais « retourné sa veste », vertu tellement rare de nos jours chez tout notre pitoyable personnel politique.

Que Jean-Marie repose en paix, mais garde son œil ouvert !

Kenavo Jean-Marie.

UN PRÉSIDENT AUX ANGES !  

Patrick ROBERT

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