DOUVES, PONTS LEVIS ET DONJONS SONT DE RETOUR.
Une fois n’est pas coutume, je vais rendre hommage à Reconquête qui lance une vaste opération contre cette absurde décision des ZFE. Reconquête propose des autocollants de couleur rouge « Non aux ZFE » à apposer sur nos véhicules, il est possible de se procurer ces autocollants sur le site de Reconquête pour une somme fort modique.
Pourquoi ce titre, vous demandez-vous ?
Cette interdiction faite dans 25 villes de France aux vieilles bagnoles essence et diesel, cela revient à transformer nos « grandes villes » en autant de châteaux forts dignes de nos plus beaux fleurons du Moyen-Age !
L’accès aux cités sera donc réservé à une « élite » de gens suffisamment aisés pour s’offrir des véhicules récents, de préférence électriques.
Haro sur la piétaille avec ses diesels fumants et ses vieilles caisses pétaradantes !
Cette épouvantable mesure trouve son paroxysme à Paris où Madame Hidalgo veut transformer bon nombre de rues en… jardins fleuris et encore et encore supprimer des places de parking !
Mesure à rajouter à l’hallucinante décision de limiter la vitesse à 50 km/h sur le périphérique qui devient encore plus une ceinture de douves.
Tout cela est d’autant plus ridicule et, disons-le, complètement stupide qu’il est clairement démontré dans toutes les études sérieuses que la circulation automobile a un impact négligeable sur le changement climatique et sur la quantité de « vilains gaz » !
C’est pourquoi, les Pays Bas, forts de ce constat, ont décidé de relever la vitesse sur les autoroutes à 130 km/h, alors qu’elle avait été abaissée à 110 km/h.
Mais une autre chose me sidère littéralement.
Alors qu’on ferme quasiment nos villes en limitant leur accès pour des motifs, in fine, totalement non-fondés et que cette mesure va concerner 20 millions d’automobilistes, on est incapable de fermer… nos frontières !
La question de l’envahissement migratoire est autrement plus sérieuse (voir les derniers chiffres publiés par le Journal Du Dimanche sur www.lejdd.fr).
Il est évident que, parmi le train de mesures nécessaires à la limitation des flux migratoires, fermer les frontières est indispensable.
Mais que nenni ! On préfère fermer les villes et laisser grandes ouvertes toutes les portes d’entrée sur le territoire Français de la Métropole et d’Outre- Mer.
Il ne faudra pas s’étonner si, dans 5 à 10 ans, il faudra mener des explorations dignes de celles de Lapérouse ou de Paul Emile Victor pour trouver les dernières tribus autochtones vivant encore aux fins fonds de la Lozère ou de la Creuse.
En souhaitant qu’elles n’aient pas toutes été anéanties par la «nouvelle population».
Il faut garder la part du rêve.
Patrick ROBERT