CLIMAT : 10 ARGUMENTS SCEPTIQUES QUI NE TIENNENT PAS LA ROUTE

Publié le par la-petite-souris-normande.com

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Parce que les élections Européennes approchent et que les "partis de gouvernement" (UMP, UDI & PS) font profil bas en occultant sciemment la campagne électorale…

Parce que les lois votées au Parlement Européen doivent être appliquées dans les pays membres de l’Union…

Parce que les "khmers verts" nous gonflent avec leur catastrophisme et qu’ils sont, quoi qu’ils disent, une des courroies de transmission du Parti Socialiste…

Parce que ces mêmes "khmers verts" ne sont pas des scientifiques, nous avons jugé utile de publier (en 3 fois) le rapport de Roy Warren Spencer, climatologue renommé.

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RWS.JPGRoy Warren Spencer, climatologue, est chercheur scientifique principal à l'Université de l'Alabama à Huntsville. Il est le chef de l'équipe scientifique américaine pour le micro-ondes radiomètre à balayage avancée (AMSR-E) sur le satellite Aqua de la NASA. Il a servi en tant que Senior Scientist d'études climatologiques à la NASA Marshall Space Flight Center.

Il est connu pour son travail de contrôle de la température par satellite, pour lequel il a reçu le American Meteorological Society de prix spécial. (Wikipédia)

 CLIMAT

10 arguments sceptiques

qui ne tiennent pas la route

par Roy W. Spencer

traduit par skyfall.fr

1/4

Il y a quelques très bons arguments pour être sceptique des prévisions de réchauffement climatique. Mais la prolifération des mauvais arguments devient presque vertigineuse.

Je comprends que beaucoup des choses que nous pensons savoir de la science finissent par être fausses. Je saisis ça. Mais quelques-unes des explications que je vois sont à la limite du ridicule. Donc, voici mon Top 10 des arguments sceptiques stupides. Je suis sûr qu’il y en a plus, et peut-être en ai-je raté certains d’importance. Bien.

1. Il n’y a pas d’effet de serre

Malgré le fait que le rayonnement infra-rouge descendant du ciel puisse-être mesuré, et s’élève à un niveau (~ 300 W/m2) qui peut à peine être ignoré; sa négligence pourrait bousiller les prévisions des modèles météo; conduirait à des nuits très froides s’il n’existait pas; il peut être facilement mesuré directement avec un thermomètre infrarouge de poche pointé vers le ciel (car un thermomètre IR mesure le changement de température IR induit à la surface d’une thermopile, CQFD)… S’il vous plaît arrêtez le truc du « pas d’effet de serre ». Cela nuit à l’image des sceptiques.

(A suivre)

Publié dans GILDEVER

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