GOUVERNANCE DE LA CASE : UNE NOUVELLE ÉTAPE
Après l’élection de Bernard Leroy à la présidence de la CASE (Communauté d'agglomération Seine-Eure), le Conseil communautaire se retrouvait ce mardi 22 avril pour élire les 15 vice-présidents et les 23 rapporteurs.
Tout était préalablement ficelé : 12 vice-présidences pour la droite, 3 pour la gauche.
Mais c’était sans compter sur la pugnacité de Marc-Antoine Jamet, qui ayant contribué à l’élimination des Martinistes s’impose sur le territoire, comme leader de la gauche. Enfin, plutôt chef des "socialistes", car, considéré MAJ comme un homme de gauche, cela ferait plutôt rigoler dans les chaumières…
Néanmoins, MAJ a rappelé que lors de l’élection de Bernard Leroy par 41 voix, la gauche avait recueilli 38 voix… et, qu’en conséquence le rapport équilibré des forces pouvait justifier que l’on reconsidère l’attribution équitable des postes.
Ce en quoi, une suspension de séance prévue pour 20 minutes, s’est prolongée plus d’une heure trente…
En Afrique, on appelle cela "les palabres". Ce qui permet de négocier le nombre de postes.
Au terme de ces discussions, il a été convenu de part et d’autre l’attribution à la gauche de 4 vice-présidences (sur 16) et 50% de postes de rapporteurs.
Fidèle à sa devise "faites ce que je dis, pas ce que je fais" Marc-Antoine Jamet ne proposa aucune femme comme vice-présidentes.
Deux femmes proposées par la Droite ont été élues : Anne Terlez (Louviers) et Sylvie Blandin (Igoville)
Dans un prochain billet, nous détaillerons les différents postes.
La petite Souris Normandes
Crédit photos : Ignare de Layoli