LA 50° SEMAINE SUR LE BLOGNOTES
Quand les socialistes trompent le peuple
Les déclarations de Marine Le Pen sur l’occupation des rues par les extrémistes islamistes auraient fait découvrir aux socialistes l’omerta qu’ils imposaient à l’opinion publique en diabolisant systématiquement la réalité, avec la complicité des médias à leurs bottes.
Le porte-parole du PS, le sinistre Benoît Hamon, vient de recouvrer la vue en estimant mercredi sur BFM TV que ces ‘‘prières’’ constituaient "des situations qui ne sont pas tolérables beaucoup plus longtemps". Il prône "une négociation avec un calendrier" dans le but de les faire cesser.
L’occupation de la rue Myrha par les islamistes extrémistes est une situation qui dure depuis des années. Le député-maire de cet arrondissement n’est autre que Daniel Vaillant, le ministre socialiste de l’intérieur du gouvernement Jospin…
Hamon et Vaillant sont l’exemple même des politiciens qu’on aimerait voire retourner à leurs chères études. « Qu’ils s’en aillent tous » dirait Jean-Luc Mélenchon.
La méthode Bolloré pour régner en Afrique
envoyé par jetzeboss. - Regardez les dernières vidéos d'actu.
Sarkozy, Jamet et Cie
Nous ne publierons pas la logorrhée de Marc Antoine Jamet sur l’Afrique.
D’abord, parce qu’il ferait mieux de consacrer son temps à s’occuper de Val de reuil.
Ensuite, les Ivoiriens n’ont pas a recevoir de leçon de la part de celui qui a cautionné les tripatouillages des cumulards Aubristes.
Enfin, quand on connaît un peu le dessous des cartes, il est stupéfiant pour nous, mais normal pour la gauche caviar, de voir le milliardaire rose venir au secours des Bolloré de Sarkozy qui ont des intérêts en Afrique, mais ne servent pas l’intérêt des Africains.
"Le Président", documentaire sur Georges Frêche
Ancien Maire de Montpellier, Président du conseil régional de Languedoc-Roussillon, atypique et indépendant, Georges Frêche était un Humaniste populaire et Rabelaisien.
Humaniste populaire, parce que, à contrario de tous ces mouvements gauchistes qui s’approprient la « lutte humaniste », Georges Frêche se moquait bien des appareils politiques parisiens pour consacrer son temps auprès de ses concitoyens.
Haut en couleur, fort en gueule, provocateur, c’était un visionnaire qui avait transformé sa ville d’une façon remarquable et remarquée dans le monde.
Se conformant à la loi sur le cumul des mandats, Georges Frêche cédera les clefs de la ville à son adjointe Hélène Mandroux en 2004, laquelle, sur les injonctions de la bande à Aubry, le trahira lors des dernières régionales. Elle prit une fessée mémorable et Georges Frêche sortit de cette consultation grand vainqueur avec le peuple de Septimanie !
Ses petites phrases que détestaient les salonards parisiens :
« À Paris, il y en a un certain nombre qui veulent ma peau depuis toujours parce que je suis un type qui n'est pas dans la norme. Je dis ce que je pense et ça les gène ! »
Laurent Fabius ayant déclaré que s'il était Languedocien, il ne serait pas sûr de voter Frêche, ce dernier a répliqué : « Si j'étais en Haute-Normandie, je ne sais pas si je voterais Fabius. Ce mec me pose problème. Il a une tronche pas catholique. »
Sarkozy ? « Un grand mamamouchi aux talons compensés ».
« Et je dis à mon ami le pasteur Nuñez (la Cimade) qui mène cette manifestation, qu'il devrait se souvenir des luthériens qui ont voté Hitler en Allemagne en 1933 ! »
Le tchador. « Ne vous inquiétez pas pour la dame, elle n'a que les oreillons et on lui tient les oreilles au chaud ».
Vildenay