LE BLOGNOTES DE LA 6° SEMAINE

Publié le par la-petite-souris-normande.com

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LA CGT BRISEUR D’EMPLOIS

Depuis septembre 2012, le syndicat CGT (qui a le monopole syndical du Livre) a imposé près de 30 jours de non-parution des quotidiens. C’était encore le cas ce mercredi.

Rappelons que chaque journal perd environ 300.000 €uros à chaque non-parution.

Rappelons aussi qu’un ouvrier de Presstalis (le distributeur de 70% de la presse et de l’intégralité des quotidiens) gagne 2.600 € net par mois sur 13 mois, auquel il faut ajouter les primes d’ancienneté, de travail de nuit, de casse-croûte, de pénibilité, de jours fériés… soit entre 4.200 à 5.000€ /mois.

Alors que la Droite, quand elle était au pouvoir, a été incapable de briser ce monopole datant d’un autre âge, François Hollande pourrait être le sauveur de la presse en faisant éclater ce carcan « syndical » qui scie la branche des emplois de la presse écrite.

Lors de ses vœux à la presse, le Président de la République avait clairement mis en garde la CGT du Livre contre les abus de droit de grève mettant en péril la liberté d’informer.

Si le changement c’est maintenant : chiche !

 

Brutus-Robertus.JPGBRUTUS ROBERTUS

Cet ex battu puis nommé maire intérimaire de Rouen, à défaut de réveiller une ville tombée en léthargie, de régler le problème du pont Mathilde, etc, etc avait trouvé une idée lumineuse : supprimer la galette des « rois » !

Devant la levée de boucliers, il y renonça et trouva une autre idée géniale, capitale pour les habitants par cette période de crise économique : débaptiser le « Salon Louis XVI » de la mairie pour le renommer Salon République.

Comme l’écrit François Teutsch sur le blog Rouen Perspectives : n’y a t’il pas de problème plus urgent à gérer sur Rouen que de tourner le dos à son histoire ?

Souhaitons que l’année prochaine, les Rouennais, à défaut de lui couper la tête ou de le dresser sur le bûcher, le renvoi dans ses foyers…

 

Publié dans VILDENAY

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