LE BLOGNOTES DE VILDENAY DE LA 9° SEMAINE

Publié le par la-petite-souris-normande.com

le vieil homme m'indigneL’ensemble des médias, qui ont pour vocation de nous intoxiquer avec leur pensée unique socialiste, nous rebattent les oreilles avec feu Stéphane Hessel.

Mais, bon Dieu, rétablissons la vérité sur ces « terro-pacifistes » qui, par leur attitude béate, souvent sournoise, ont participé lourdement aux maux du 20° siècle.

Qui se souviendra de feu Hessel dans 10 ans ?

A moins qu’on publie les propos qu’il avait tenu dans le quotidien allemand ‘‘Frankfurter Allgemeine Zeitung’’ où il estimait « comme souple » l’occupation nazie de la France.

Ah ! j’aurais bien voulu voir la montée de boucliers de tous ces intellos de gauche, si ces propos étaient sortis de la bouche d’un Le Pen ou d’un Coppé !!!

Juste un petit rappel de l’interview d’Hessel (*) :

« Aujourd’hui nous pouvons constater ceci : la souplesse de la politique d’occupation allemande permettait, à la fin de la guerre encore, une politique culturelle d’ouverture. Il était permis à Paris de jouer des pièces de Jean-Paul Sartre ou d’écouter Juliette Greco.

 

Si je peux oser une comparaison audacieuse sur un sujet qui me touche, j’affirme ceci : l’occupation allemande était, si on la compare par exemple avec l’occupation actuelle de la Palestine par les Israéliens, une occupation relativement inoffensive, abstraction faite d’éléments d’exception comme les incarcérations, les internements et les exécutions ainsi que le vol d’œuvres d’art » .

Assimiler « la souplesse de la politique d’occupation allemande », et ses camps de chambres à gaz, à ce qui se passe en Palestine est non seulement odieux, mais déshonorant.

Alors oui, il y a de quoi s'indigner !

 

Benoit-XVI-1.JPGCe mercredi 27 février, à l’occasion de sa dernière audience générale, le Pape Benoît XVI s’est exprimé devant près de 100.000 personnes. S’adressant directement au Christ, il déclara : « Seigneur, que me demandes-tu? Ce que tu me poses sur les épaules est un grand poids, mais si tu me le demandes, je jetterai les filets, sûr que tu me guideras ». puis : « Et le Seigneur m’a vraiment guidé, il m’a été proche, et j’ai pu sentir quotidiennement sa présence ».

Benoît XVI a expliqué sa décision de renoncer à sa charge : « J’ai senti, ces derniers mois, que mes forces allaient diminuant, et j’ai demandé à Dieu, avec insistance, dans la prière, de m’illuminer de sa lumière pour me faire prendre la décision la plus juste, non pas pour mon bien, mais pour le bien de l’Église. J’ai posé ce pas dans la pleine conscience de sa gravité et de sa nouveauté, mais dans une profonde sérénité d’âme. Aimer l’Église signifie aussi avoir le courage de faire des choix difficiles, souffrants, en ayant toujours devant soi le bien de l’Église et non son propre bien personnel. »

 

Gif ecole livres (23) Vildenay

 

(*) Publiée par G.-W. Goldnadel, Président de Avocats Sans Frontières sur le blog du CRIF

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