LES MINISTRES : UNE BANDE D'AMATEURS !

Publié le par la-petite-souris-normande.com

boomerangMon cher neveu,

Il est sur notre CASE un "Chevalier blanc" qui voudrait nous faire prendre des vessies pour des lanternes.

Grand inquisiteur de tout ce qui n’est pas socialiste, à l’approche du verdict des municipales lovériennes, sentant que le vent souffle fort dans les voiles du Conseiller régional Priollaud, il commence à se déchaîner.

Aussi est-il amusant de pasticher ses écrits, pour mon plus grand bonheur et j’espère le vôtre, mon cher neveu.

Voici ce qu’écrivait le 23 avril 2008, (sous l’ère Sarkozy),le plumassier de la rue de Passy. J’ai juste adapté (en couleur rouge) les noms des protagonistes de l’époque.

P-E-L.JPGGageons qu’il n’ait pas perdu le sens de l’humour et que, comme nous, il sera le 1er à en rire.

LES MINISTRES : UNE BANDE D'AMATEURS !

 « …Il m'est difficile de me taire (surtout maintenant) quand je constate, et d'autres avec moi, des atteintes à l'exercice du métier de journaliste en France et ailleurs.

Ce qui pourrait passer pour un caprice n'en est pas un. Ce matin, les ministres sortant du conseil qui les avait réunis à l'Elysée ont constaté que les journalistes parqués derrière un cordon ne leur posaient aucune question.

Ce fut silence dans les rangs et un silence respecté par l'ensemble des confrères. Un silence a vrai dire inhabituel quand on connait la joyeuse cohue qui marque chaque sortie du conseil le mercredi.

Il semblerait que le nouveau grand chef de la communication sarkozienne Hollandaise, Tierry Saussez Claude Sérillon, ait imposé cette nouvelle mise en forme, L'objectif étant d'empêcher les journalistes d'approcher de trop près les ministres et de leur poser des questions avec autant de réponses improvisées et mal vécues par le Président.

On sait que le gouvernement actuel, le gouvernement des couacs, a du mal à parler d'une même voix.

Que de contradictions, d'affirmations-négations, de mesures annoncées puis annulées…

Quelqu'un a dit, je crois qu'il s'agit du maire de Paris, « que ce gouvernement n'était pas professionnel. »

Tout est dit. Une bande d'amateurs qui se prend pour une bande de professionnels.

C'est dangereux. Et tellement imprévisible. »

Voilà, mon cher neveu, une nouvelle occasion de pouffer de rire et de vous remémorer ce proverbe de Jean de La Fontaine : « Tel est pris qui croyait prendre ! »


   LFLF---.JPGVotre Isa de Malhortie, Baronne de la Case


Publié dans LA BARONNE DE LA CASE

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article