LA POLITIQUE À LA « COM » DE MACRON

Quand même le professeur Raoult, qu’il a été difficile de faire taire le dit, il est bon que soient diffusées certaines vérités tues par les médias, pour réveiller les soumis qui par leur inaction, permettent aux cyniques élites d’étendre leur pouvoir y compris au-delà de l’Occident, en essayant de prendre de vitesse le reste du monde qui refuse, et qui grace à Dieu, essaie de casser l’irrésistible processus déjà bien engagé…

Ainsi quand ce bon professeur Raoult, véritable humaniste s’il en est, confirme lui aussi que le fond de pension américain Blackrock qui représente une puissance financière supérieure à celle de plusieurs pays réunis, détient à lui seul 30% de la dette Francaise, comme il est propriétaire par ailleurs de près de la moitié des terres arables ukrainiennes, il est compréhensible que nous ayons été mis insidieusement sous tutelle, dirigés par les nervis des Mondialistes dont Macron et sa bande sont parties intégrées.

(Cf: BlackRock, avec Vanguard et State Street, forme le gang des « Big Three » : les trois géants de la gestion d’actifs. Ensemble, ils cumulent environ 15.000 milliards de dollars (13.500 milliards d’euros) de capitalisation, soit l’équivalent du produit intérieur brut (PIB) de la Chine, et contrôlent un bloc majoritaire d’actions dans 90% des entreprises du S&P 500, le premier indice boursier américain).

Dès lors on saisit mieux les enjeux et les risques encourus à croire et suivre béatement les bonnes paroles précontraintes, furent-elles revues et corrigées voire policées par l’angelot Gabriel intronisé lui aussi très tôt dans le cercle restreint des grands argentiers qui se réunissent à Davos.

Mais chut ! Cela est interdit d’antenne.

Voilà pourquoi l’heure n’est plus aux rêveries mais à l’action comme celle entreprise par les agriculteurs allemands qui s’opposent à la fiéleuse Ursula, et au soutien de tous les élus qui feront obstruction sans faillir aux changements proposés pour l’adoption des grandes décisions qui engageront les membres de l’UE, en lieu et place de l’unanimité exigée aujourd’hui.

Réduits au triste choix de résister ou mourir dilués, les Français se doivent de réagir à leur tour.

C’est le seul message qui tienne à l’heure de voter pour les européennes trop longtemps délaissées pour les scrutins nationaux alors que notre destin se scellait déjà à Bruxelles.

La politique à la « com » de Macron, avec ou sans “bornes”, qui “s’étale” maintenant avec Gabby le magnifique, c’est juste de la diversion et de l’enfumage pour distraire le gogo qui écoute radio PRAVDA, et regarde les faux débats entre faux experts mais vrais complices qui s’ébrouent ce qu’il leur reste de zèle imbécile sur LCI ou BFM TV.

Désolé de casser l’enthousiasme ambiant du moment, mais un homme averti en vaut deux, surtout quand tout est fait pour l’anesthésier voire sodomiser en douceur…

  

Gilbert Malaval