NOUS N’AVONS PAS ADHÉRÉ À L’UNION EUROPÉENNE POUR AVOIR UNE DEUXIÈME UNION SOVIÈTIQUE
Alors que Macron nous entraîne subrepticement dans la guerre Ukraino-Russe à coups de millions d’€uros, payés par les contribuables, et qu’il veut faire peser notre manque d’électricité sur la Russie alors qu’il en est seul responsable pour avoir plié devant les diktats des khmers verts, plusieurs de nos voisins réagissent en mettant à la tête de leur État une coalition de droite conservatrice et de droite progressiste.
Ce 14 septembre, les élections législatives en Suède ont chassé du pouvoir la gauche alliée aux écologistes qui était aux commandes depuis huit ans.
Une bascule historique permettant au chef du ‘‘Parti Conservateur des Modérés’’ Ulf Kristersson de travailler à la formation d’un gouvernement en totalisant 176 sièges dont 73 pour le parti des Démocrates de Suède (SD), l’équivalent du ‘‘Rassemblement National’’ de Marine Le Pen qui devient le deuxième parti du pays.
« Maintenant, nous allons remettre de l'ordre en Suède ! », a précisé le futur chef de gouvernement en écho à la déclaration de Jimmie Akesson, le leader des ‘‘Démocrates de Suède’’ (SD) proclamant « Maintenant le travail commence pour faire que la Suède soit bien de nouveau » et promettant d’être « une force constructive et d’initiative » à l’instar du ‘‘Rassemblement National’’ en France.
Comme en France, la Suède est confrontée à la criminalité immigrationniste avec depuis le 1er janvier dernier plus de 250 fusillades qui ont fait une cinquantaine de morts… Un phénomène en pleine expansion par la guerre du trafic de drogue entre bandes rivales qui secouent le pays d'accueil.
Comme en France, l’intégration des immigrés est un échec notable par le fait du refus de s’intégrer aux coutumes du pays. Rien d’étonnant quand on lit le lumineux article de l’Abbé Alain Arbez ‘‘Les pièges du dialogue avec l'islam'' paru hier dimanche sur notre site.
Les trois partis de droite traditionnelle (Modérés, chrétiens-démocrates et Libéraux) étant frileux à travailler avec les ‘‘Démocrates de Suède’’, bien que celui-ci ait obtenu plus d’élus que ces trois autres, JImmie Akesson semble vouloir soutenir le futur gouvernement issu des élections sans en faire partie déclarant : « Le processus prendra le temps qu'il faudra ».
Ulf Kristersson, se trouve dans une situation délicate. Si la droite a remporté les élections, son mouvement est arrivé en troisième position et n’a obtenu que 19,1% des voix, soit 68 sièges. Pour former un gouvernement, il va devoir non seulement s’entendre avec les chrétiens-démocrates et les libéraux, mais aussi avec ‘‘Les Démocrates de Suède’’ (SD), la formation nationaliste, qui devient la première force politique à droite.
Au vu des résultats Ulf Kristersson a assuré qu’il souhaite mettre en place « un gouvernement pour toute la Suède et tous les citoyens ». Convaincu que tous les problèmes pourront être résolus.
« Partout en Europe, les peuples aspirent à reprendre leur destin en main ! » a déclaré Marine Le Pen qui a félicité le score historique réalisé par le ‘‘Parti Démocrate de Suède’’. Le message fait aussi écho aux élections générales italiennes du 25 septembre prochain où le parti Fratelli D’Italia (Frères d’Italie) est favori.
Le vent d’union des droites souffle de plus en plus fort sur l’Europe. Dans les pays nordiques tels qu’en Finlande avec ‘‘le Parti des Vrais Finlandais’’, en Norvège avec ‘‘le Parti du Progrès’’ ou au Danemark avec ‘‘le Parti du Peuple Danois’’. En Europe centrale après l’écrasante réélection de Viktor Orbán en Hongrie, il fait alliance avec son homologue Polonais Mateusz Morawiecki en remettant en cause l’ingérence de l’inénarrable Ursula von der Leyen et Cie dans les affaires intérieures de leurs pays en déclarant tous deux : « Nous n’avons pas adhéré à l’Union Européenne pour avoir une deuxième Union soviétique ».
En France, lors de la présidentielle de 2022, Marine Le Pen a totalisé plus de 13 millions de voix. ‘‘Les Républicains’’ qui devront élire en décembre leur chef de file, seraient bien avisés de travailler à la constitution d’un gouvernement d’union des droites sans exclusive. Faute de quoi, ils se contenteront d’être dans l’opposition durant des décennies.