PATIENCE ET LONGUEUR DE TEMPS…

Chez les écolo-bobo-macroniens on ne décolère pas qu’en Argentine Javier Milei ait été largement élu à la tête du pays avec 56% des voix, gagnant dans 21 régions sur 24 et que les jeunes aient voté massivement pour ce candidat de la vraie droite !

Rendez-vous compte que le nouveau président a promis de faire des coupes à la hache sur les dépenses inutiles de l’État, de baisser drastiquement la fiscalité et de booster les entreprises…

Tout le contraire d’un programme socialo-macronien !

Ce petit monde parisianisme n’a même pas la pudeur d’attendre les résultats du programme du nouveau président pour juger sur les faits !

Il est vrai qu’il était facile de coopérer avec les prédécesseurs notoirement corrompus… Sauf que ceux-là laissent leur pays avec une inflation à 140%, qu’un Argentin sur 5 vit sous le seuil de pauvreté, que les banques ont ruiné leur clients en stoppant les retraits…

Il est vrai aussi que dans les salons dorés parisiens tout ce petit monde écolo-bobo-macronien qui vit grassement sur le dos des entreprises et des salariés, on est horrifié de lire dans le programme du nouvel élu la  défense des libertés individuelles et de la propriété privée…

Ouh là là, c’est que vous nous faites peur Mr Milei !

Rendez-vous compte qu’au moment ou les élus macroniens veulent inscrire dans la Constitution le droit à l’avortement, le nouveau président Argentin s’est permis de déclarer « qu’il était opposé à l’avortement, sauf dans certains cas précis, expliquant que l’embryon et le fœtus sont des êtres humains en tant que personne en devenir, nul ne peut leur ôter la vie puisqu’ils sont propriétaires de leur vie ».

Précisons que le président Javier Milei a été élu député, qu’il s’est présenté aux primaires de son parti pour être candidat à la présidentielle.

Ce 10 décembre, Javier Milei s’assiéra dans le fauteuil présidentiel. Seuls, les Argentins seront à même de juger son action quand approcheront de nouvelles élections.

“Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage” rappelle sagement Jean de la Fontaine.