LA PLUS TERRIFIANTE AFFAIRE JUDICIAIRE DE L’UE PORTE DESORMAIS UN NOM : URSULA VON DER LEYEN (4/4)
Autrement dit, la clause de non-responsabilité est ; soit léonine, puisque l’exigence en substance du débiteur (La commission UE débitrice) n’est rien d’autre qu’une obligation de résultat, sinon le produit d’une entente illicite, donc à caractère pénal, en acceptant que tous les risques soient supportés par les citoyens européens.
Ces derniers sont supposés faire confiance à leurs institutions, alors-même que cette engeance politique est discrètement guidée par la nébuleuse sectaire sise à Davos (CH) : le World Economic Forum. À ce propos, voir l’ouvrage publié à L’Observatoire du Mensonge, ‘‘L’effroyable conjuration du Forum de Davos…’’ (19 avril 2023), p. 47, 122, 191, 212, 218 et 227…
Après l’évaluation du profil de la multinationale Pfizer Inc., nombre de procédures judiciaires, amendes et pénalités ont jalonné le parcours industriel et crapuleux de cette entreprise biopharmaceutique née en 1849 à New York, désormais présente dans 150 pays.
La question est de comprendre comment, la plus haute responsable de la branche exécutive de l’Union européenne a-t-elle eu l’imprudence – ou l’audace – d’engager autant de milliards d’euros depuis les caisses de la BCE, au profit de cette société pour l’achat de vaccins expérimentaux, dont nul ne pouvait alors obtenir la garantie de leur innocuité et de leur efficacité ; puisque privé de recul et des principes de précautions…
Rappelons qu’il faut ordinairement plus d’un an, voire deux ou trois années de recherche et de preuve d’innocuité, pour qu’un médicament obtienne une autorisation de mise sur le marché (AMM)…
Or, ces vaccins-Covid, conçus à la hâte et fabriqués à profusion de façon invraisemblable, inondèrent le monde par milliards de doses plus ou moins un semestre après l’apparition du méchant coronavirus.
Comment est-ce possible, sinon d’envisager que ces remèdes préventifs furent fatalement élaborés en même temps que le virus ?
Ce pourquoi, entre naïveté et corruption, un leadership s’est confortablement installé entre Bruxelles et le canton des Grisons en Suisse (le WEF), le tout sur un canapé de dollars US et UE, en communion avec les sociétés extraterritoriales qui abritent les paradis fiscaux ; le tout emmené par une société conseil qui n’est pas plus respectable.
Si cette analyse peut paraître un peu trop véhémente, rappelons pour la petite histoire que le président directeur général de McKinsey & Company, Rajat Gupta, purgea une peine de prison de 2 ans, jugé coupable de délit d’initié entre 1994 à 2003. Mais ce ne fut qu’un préambule devant les annales qui suivirent.
Cette procédure judiciaire emmenée autour d’un scandale financier sordide de la Sté Pfizer fut aussi retentissante que l’affaire de Bernard Madoff qui secoua les places boursières dans le monde.
Quant à la crise des opiacés aux États-Unis, via les conseils éclairés du groupe McKinsey, la firme aura payé une amende de 573 millions de dollars US pour solder les poursuites judiciaires qui se multiplièrent sur tout le territoire Nord-américain. Le jeu marketing cynique et délibéré de ladite firme consista à faire sur-prescrire des opiacés au groupe Perdue Pharma et aux médecins.
Depuis 1999, 400.000 Américains dans 47 États sont décédés d’overdose par suite d’absorption d’une molécule narcotique délivrée par le laboratoire Mallinckrodt (Voir p.103/104, ‘‘Emmanuel Macron – une anomalie présidentielle’’, éditions Observatoire du Mensonge).
Comme il semble que l’histoire, même proche des annales d’actualité, n’ait pas de mémoire dans l’hippocampe d’Ursula von der Leyen, les transnationales Sté Pfizer et McKinsey ont encore de beaux jours à Bruxelles ; la plateforme de la Commission UE.
Même si la plupart des laboratoires pharmaceutiques furent épinglés par la justice un peu partout dans le monde, la multinationale Pfizer siège sur la plus haute marche du podium, car a de nombreuses reprises condamnée à de lourdes amendes dans un passé récent, pour des faits de pratiques commerciales frauduleuses, telles les publicités mensongères, la corruption de médecins et de fonctionnaires, mais aussi pour non-respect de l’environnement et des droits humains…
Avant l’apparition du SARS-CoV-2 fin 2019, des associations américaines, comme les organismes de surveillance Public Citizen ou Good Jobs First ont compilé les condamnations de différents groupes pharmaceutiques, dont principalement la firme Pfizer. Dans un rapport rendu public en 2018, Citizen releva que de 1991 à 2017, Pfizer s’est vu infligé des pénalités financières à hauteur de 4,7 milliards de dollars aux États-Unis et cent millions d’euros un an auparavant au Royaume-Uni, en raison de hausses de prix non négociées.
Une base de données ‘‘Violation Tracker’’ de l’organisation US Good Jobs First, recensa un record de pénalités supérieur à dix milliards de dollars US, depuis l’an 2000 à 2019, entre le siège Pfizer et ses filiales. Ce palmarès judiciaire appela la défiance du corps médical envers cette nébuleuse, « rempli d’affaires dans lesquelles elle a été accusée d’avoir trompé les autorités de réglementation et le public sur la sécurité de ses produits » (Philip Mattera, directeur de recherche à Good Jobs First et Corporate Research Project).
Mais la liste des indélicatesses politiques et des malversations commerciales n’est pas exhaustive, puisque bien d’autres sanctions judiciaires se cumulèrent autour de cette firme, reine du Big Pharma, entre des valves cardiaques défectueuses, des surfacturations de médicaments, de fausses déclarations sur les produits, puis encore des violations des droits humains comme le test d’antibiotiques sur des enfants nigériens sans l’accord des parents. À la lumière de cette expérience criminelle, il semblerait que la pratique de tester ses molécules à vecteur génique dépourvues des étapes cliniques sur des cobayes humains à leur insu, car sans autre explication scientifiques que des menteries, trouva sa dimension la plus spectaculaire chez Pfizer avec les vaccins-Covid !
Pour clore cette lugubre liste des infractions et crimes de ce laboratoire pourvoyeur de malhonnêtetés, citons la sanction de 2,3 milliards de dollars versée en 2009 pour des pratiques commerciales concernant l’anti-inflammatoire Bextra retiré du marché en 2005.
Outre la promotion de ses médicaments pour des utilisations non approuvées par la Food and Drug Administration US, l’organisme qui délivre les autorisations de mise sur le marché (AMM), en 2012, Pfizer fut sanctionné de 60 millions de dollars dans une affaire de corruption, au motif d’avoir « pris des raccourcis pour développer ses affaires dans plusieurs pays d’Eurasie, en versant plusieurs millions de dollars de pots-de-vin à des responsables gouvernementaux en Bulgarie, Croatie, Kazakhstan et Russie », selon les conclusions de la juridiction américaine compétente. Pfizer fut également visée par une enquête pour corruption en Chine, condamné à une amende de 15.570 dollars et à la confiscation de 468.000 dollars. Enfin, une énième enquête fut ouverte pour des faits similaires relevés par la Securities and Exchange Commission.
Rappelons que c’est la secte WEF (Forum de Davos), avec les sociétés conseils (ainsi McKinsey), puis Ursula von der Leyen présidente de la Commission UE qui déléguèrent en chaîne, pays par pays, cette dilapidation de l’argent public sur toute l’Europe de l’Union, avec des commandes astronomiques de vaccins-Covid de tous les dangers…
Emmanuel Macron s’engagea avec force et violence pour obliger ses concitoyens à se faire piquer trois à quatre fois par an, à l’aide de centaines d’ordonnances, de lois et de décrets comminatoires et de répression, jusqu’à priver de leurs droits civils les récalcitrants : interdiction de travailler pour certaines professions, de voyager, de consommer etc.
Ce galvaudage des deniers publics, notamment avec les vaccins invendus donc périmés se perpétue encore de nos jours, à coup de centaines de milliards d’euros. Le produit financier de ces seringues circule depuis les caisses des cotisations sociales et la fiscalité des contribuables jusqu’aux comptes bancaires numérotés offshore des laboratoires pharmaceutiques, en passant par les commissions occultes versées aux politiciens, puis aux gratifications de professionnels médicaux peu scrupuleux.
Toujours sous le sceau de l’urgence et de l’exception, l’absence de garantie des produits et la clause de non recours en cas d’accident consécutif à cette prophylaxie d’expérience, auront permis auxdits laboratoires d’opposer la propriété intellectuelle sur leurs vaccins, dont le monopole autorise des profits considérables selon le député européen Marc Botenga de l’ONG ; ‘‘Un hold-up sur notre sécurité sociale !’’
Le manque de coopération de Pfizer, lequel a emporté une très large majorité des contrats, ajouté au silence complice d’Ursula von der Leyen dans les coulisses de ces tractations, le pire apparaît envisageable en termes d’enrichissement personnel, de trafic d’influence, de concussion et de népotisme entre son époux, le Dr Heiko directeur dans une filière du Big Pharma, et l’un de ses fils David, directeur d’un cabinet conseil McKinsey, principal intermédiaire dans ces marchés, notamment installé à l’Élysée. Ici, tout est dit !
S’agissant de ce personnage haut en couleurs (de l’Ukraine), chef de file dans cette vaste escobarderie, entre duplicité et prévarication, comment se prétendre une élue indépendante et impartiale au sommet de la Commission (UE), lorsque l’on a un pied dans le Big Pharma avec une partie de sa famille compromise, et l’autre au titre de cliente au pied d’un oligopole pharmaceutique au nom de l’Union pour trafiquer avec les produits viciés de ces laboratoires ?
L’excuse évoquée de protéger la santé des populations s’en trouve à ce jour trempée dans les draps d’affaires glauques sous l’alibi d’une cause sanitaire qui a lamentablement échouée, sauf pour ses promoteurs.
Cette enragée des vaccins dilapide les fonds de l’Union avec 4,2 milliards de doses déjà achetées, principalement à Pfizer, pour forcer les États membre à acheter ces fioles d’élixir funestes, car inefficaces et toxiques, qu’elle commande au rythme de vagues spéculées.
FIN...
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : ‘‘Le chaos culturel des civilisations’’ pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères. (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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