DONALD TRUMP PEUT DÉMONTRER QU’IL Y A EU FRAUDE ÉLECTORALE EN 2020

Publié le par Magali Marc

DONALD TRUMP PEUT DÉMONTRER QU’IL Y A EU FRAUDE ÉLECTORALE EN 2020

L’examen approfondi de l’élection de 2020 révèle qu’il y a effectivement eu des fraudes électorales à grande échelle dans plusieurs États.

En tant que président, non seulement Donald Trump était autorisé à contester une élection qu’il jugeait frauduleuse, mais il avait l’obligation constitutionnelle de le faire.

Il avait annoncé la tenue, la semaine prochaine, d’un événement médiatique lors duquel il allait présenter au public un rapport prouvant de manière irréfutable qu’il y a eu une fraude électorale en Géorgie en 2020. Cependant, ses avocats l’ont convaincu de faire cela en présentant des documents juridiques officiels en cour plutôt qu’en conférence de presse.

Donald Trump peut prouver qu’il y a eu de la fraude électorale en 2020.

Les politiciens de l’Establishment à Washington et les médias de masse se sont battus plus que jamais pour convaincre le public que la fraude électorale n’est qu’une autre théorie du complot.

Mais les modifications anticonstitutionnelles des lois électorales des États, les urnes non surveillées, les erreurs dans les machines à voter, les taux de participation mathématiquement improbables et d’autres exemples de fraude électorale pure et simple qui n’ont pas pu être présentés devant les tribunaux entre l’élection de 2020 et l’investiture de M. Biden ne peuvent pas être simplement considérés comme des coïncidences.

Tous ces événements simultanés donnent l’impression que la fraude a été coordonnée.

En réponse aux derniers actes d’accusation, les avocats de M. Trump ont indiqué qu’ils disposaient enfin d’une plateforme afin de « réexaminer entièrement chaque problème survenu lors de l’élection de 2020 », et il y en avait beaucoup.

Cette question si importante pour les États-Unis pourrait enfin recevoir l’attention qu’elle mérite.

La victoire de Donald Trump en 2016 a été favorisée par le basculement des États du Michigan, du Wisconsin et de la Pennsylvanie passant du bleu (démocrate) au rouge (républicain).

La Pennsylvanie et le Michigan n’avaient pas voté pour un républicain lors d’une élection générale depuis 1988, tandis que le Wisconsin n’avait pas voté pour un républicain depuis 1984.

Ces trois États ont permis à M. Trump d’obtenir les voix électorales nécessaires pour être élu président.

Ils ont également montré que les bastions bleus n’étaient plus un « acquis » pour les Démocrates, après que les habitants de ces États en eurent assez d’offrir des victoires à des politiciens qui ne faisaient rien pour eux.

Outre le « mur bleu d’Hillary Clinton » [ NdT: des États qui élisent toujours des Démocrates ], l’Arizona et la Géorgie étaient également considérés comme des États clés potentiels que M. Trump devait conserver, comme l’avaient fait les précédents candidats républicains, pour avoir une chance de l’emporter.

L’élection présidentielle de 2016 indiquait clairement que ces États décideraient à nouveau de l’élection en 2020.

De manière suspecte, après que l’Amérique ait été contrainte d’attendre anxieusement les résultats pendant les jours qui ont suivi la soirée électorale (du 3 novembre), ces cinq États ont tous « basculé » en faveur de M. Biden, bien que M. Trump ait dépassé le taux de participation record de 2016 par des marges encore plus importantes.

Alors même que des pourcentages mathématiquement improbables de bulletins de vote en faveur de Joe Biden continuaient d’affluer le 4 novembre, le Secrétaire d’État de la Géorgie, Brad Raffensperger, a conclu qu’avec un taux de participation dépassant déjà de 400.000 voix celui de 2016 et une avance de plus de 105.000 voix pour Donald Trump, alors qu’il ne restait plus que 2% du scrutin à dépouiller, il n’y avait tout simplement pas assez de votes en suspens pour que Joe Biden remporte l’État.

Par coïncidence, alors que M. Raffensperger commençait à déclarer cela en direct à la télévision, sa connexion à l’émission a été coupée.

Lorsqu’il est revenu en ondes, M. Raffensperger est revenu sur ses propos… Interrogé par les panélistes de NBC News, il a déclaré : « Même si l’un des candidats obtenait 100% des votes restants, cela ne suffirait pas à changer le résultat ».

Malgré cette révélation déterminante, M. Raffensperger a ensuite changé de cap en déclarant à la Commission du 6 janvier : « Si l’on examine tous les chiffres, on constate qu’ils n’ont jamais atteint un niveau suffisant pour remettre en question l’élection », contredisant ainsi complètement ses affirmations précédentes…

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Le Michigan

Dans le Michigan, un reportage récent a révélé le stratagème qui a permis à Joe Biden de recevoir des quantités sans précédent de bulletins de vote au petit matin du 4 novembre, dont plus de 800.000 avaient été envoyés à des électeurs non qualifiés.

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Le Wisconsin

En mars 2022, l’enquête de Michael Gabelman, ancien juge de la Cour suprême du Wisconsin, a mis au jour un système d’exploitation de maisons de retraite si flagrant qu’il a suggéré de dé-certifier les 10 votes électoraux du Wisconsin. Même le président de l’Assemblée, Robin Vos, qui avait nié toute fraude électorale, a admis qu’une « fraude généralisée » avait eu lieu.

Plus tard, la Cour suprême de l’État a déterminé que les boîtes de dépôt des bulletins de vote par correspondance, dans lesquelles 2 millions de votes avaient été déposés au cours de l’élection, étaient en fait illégales.

L’opinion majoritaire a décrit le résultat comme « obtenu par des procédures illégales« , le Wisconsin ayant été décidé par seulement 20 000 voix.

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La Pensylvanie

La procédure de vote en Pennsylvanie a suscité des inquiétudes bien avant que les électeurs ne votent.

Le groupe républicain du Sénat de l’État et le Parti Républicain ont fermement soutenu que la Cour suprême de l’État, en prolongeant le délai de dépouillement des bulletins de vote, violait la clause électorale de la Constitution des États-Unis en retirant à la législature le pouvoir de « fixer la date, le lieu et les modalités des élections fédérales ».

La Cour suprême des États-Unis s’est prononcée sur cette question juste avant la confirmation de la Juge Barrett. La décision a été prise par 4 voix contre 4, ce qui a entraîné un « sursis ». Si l’affaire avait été entendue après sa confirmation, il est probable que Mme Barrett se serait prononcée contre les prolongations qui ont conduit au « retour » constitutionnellement contestable de M. Biden.

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L’Arizona

Mais de tous les soupçons de fraude en 2020, l’Arizona a été le premier État à soulever des soupçons en temps réel.

Bien que l’Arizona n’ait jamais voté démocrate lors d’une élection présidentielle à deux candidats depuis 1948, Fox News a annoncé de manière choquante que l’État était favorable à Joe Biden après que seulement 27% des votes aient été rapportés. Cela a déclenché un audit judiciaire qui a conclu que le nombre de votes illégaux était cinq fois supérieur à la prétendue victoire de Joe Biden (11.000 voix).
Lorsque le décompte des voix a été inexplicablement interrompu le soir de l’élection, Donald Trump était en tête dans tous ces États avec un écart de six chiffres.

Une combinaison de trois de ces États lui aurait assuré un second mandat, ce qui explique pourquoi les Démocrates se sont tant démenés pour les lui voler.

Mais même en mettant de côté les statistiques spécifiques aux États, une analyse élémentaire de l’histoire électorale montre qu’il est improbable que Joe Biden ait obtenu le nombre de voix qu’il a prétendument obtenu.

Depuis 2004, toutes les élections générales ont donné lieu à un total de 120 à 130 millions de votes. L’élection de 2020 aurait recueilli 155 millions de voix.

Il y avait environ 168 millions d’électeurs inscrits en 2020, ce qui signifie que le taux de participation en 2020 a été de 92%.

Ce chiffre est statistiquement improbable si l’on considère que des pays comme l’Australie instituent le vote obligatoire, qui oblige les citoyens à voter ou à payer une amende. Pourtant, son taux de participation le plus récent se situait dans les 80%.

L’Amérique dépasse sans problème une nation qui pénalise financièrement les non-votants ? Cela ne tient pas la route !

Bien que les candidats innovateurs puissent susciter une hausse de la participation électorale, il est peu probable qu’un candidat ayant déjà échoué à deux reprises aux primaires, tel que Joe Biden, soit à l’origine d’une telle évolution.

Joe s’est présenté en 1988 et en 2008 et n’a jamais gagné le cœur des électeurs.

Il a abandonné la course en 1988 après avoir été pris en flagrant délit de plagiat et, vingt ans plus tard, il a de nouveau été rejeté par la base du parti avant d’être récupéré par Barack Obama…

Après avoir été vice-président, son image publique n’a fait qu’empirer, car il est devenu évident qu’il était toujours le même Joe Biden, sauf qu’il présentait désormais des troubles cognitifs.

Il n’a remporté qu’un seul comté « baromètre » et moins de 500 comtés au total, alors que MM Trump et Obama en ont remporté respectivement environ 2500 et 900.

Pourtant, en l’état actuel des choses, on dit que Joe Biden a reçu le plus grand nombre de voix dans l’histoire des États-Unis !

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Conclusion

Le Président Trump n’a pas essayé de « subvertir » l’élection et ne savait pas secrètement qu’il avait perdu.

Tout examen approfondi de l’élection de 2020 révèle qu’il s’agit d’une fraude.

Non seulement Donald Trump était autorisé à contester une élection qu’il jugeait frauduleuse, mais en tant que président, il avait l’obligation constitutionnelle de le faire. C’est tout le contraire d’un acte criminel.

En fait, il a été un des seuls responsables gouvernementaux à vouloir respecter le serment qu’il avait prêté.

Essayer de l’emprisonner pour cela n’est pas seulement une tâche ardue, mais c’est aussi prendre le risque de lui permettre de prouver publiquement ce qu’a été le véritable « grand mensonge ».

Les preuves existent et Donald Trump va enfin prouver que ses affirmations, vieilles de plus de deux ans, sont valables.

Il ne lui reste plus qu’à les présenter.

Source : https://www.americanthinker.com/articles/2023/08/trump_can_prove_it.html

© Traduction de Magali Marc (@magalimarc15

Avec l’aimable autorisation de Dreuz.info.

Magali Marc a été directrice des communications dans diverses ONG tout en complétant une Maîtrise et un Doctorat en Science politique à l’Université de Montréal. Elle a enseigné la Sociologie du Québec ainsi que l’Histoire de la Constitution canadienne dans un collège bilingue de Montréal pendant plus de dix ans. Elle a publié de nombreux articles et textes d’opinion dans diverses revues à Montréal. Elle est l’auteur d’un cahier pédagogique d’histoire pour le Secondaire V, Les Défis du XXe siècle (2013, LIDEC éditeur).

Publié dans DREUZ INFO

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