AVEC MACRON, L’ÉLECTRICITÉ DE PLUS EN PLUS CHÈRE…
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Dessin paru dans "LE MATIN DIMANCHE"
Comme d’habitude, avec Macron on ne peut s’attendre qu’à de mauvaises nouvelles pour notre portefeuille… En effet, nos technocrates Élyséens s’activent afin de faire remonter les taxes sur l’électricité dès février prochain.
Une fois de plus, Macron et ses sbires ont plié au diktat de Bruxelles. C’est ainsi que le député macroniste et rapporteur général du budget, Jean-René Cazeneuve, vient de déclarer lors d’une rencontre organisée par l’Ajef (Association des journalistes économiques et financiers), que « le gouvernement se prépare à faire remonter les taxes sur l’électricité. le niveau des accises sur l’électricité, étant quasiment nul depuis 2022, on devrait retourner à la normale dès 2024, grâce à un amendement au projet de loi de finances. La hausse des prix ‘‘devant’’ rester limitée à 10% en février prochain ».
Et d’ajouter sans pudeur que « la crise énergétique se résorbant, Il est temps de supprimer le bouclier tarifaire qui protège les Français de l’envolée des prix de l’électricité depuis 2022. Le gouvernement n’a pas caché sa volonté de sortir du dispositif progressivement, mais il compte désormais le faire sur la fiscalité, qui devrait remonter sensiblement en 2024… »
Bien évidemment silence sur le fait que Macron, en cirant les bottes des khmers verts, s’était opposé pendant cinq ans à la modernisation de nos centrales et au remplacement progressif de nouvelles technologies beaucoup moins polluantes.
A ce désastre, il faut ajouter que pour se vautrer devant les fonctionnaires d’Ursula l’incompétente, le monopole qui faisait la richesse de la France et assurait son autonomie industrielle, commerciale et domestique est parti en fumée au grand plaisir de nos voisins et de la Russie qui nous vend son électricité et son gaz via l’Azerbaïdjan.
En attendant son remplacement au 55, faubourg Saint-Honoré, Macron et ses cireurs de pompes seraient bien avisés d’aller souffler sur les pales de ses chères éoliennes qui restent immobiles faute de vent…
