C'EST VRAI, LUI DIT LE ROI, METS-TOI BIEN VITE DEVANT MOI !
Alors que la France s’embrase du Nord au Sud et de l’Ouest à l’Est, le président de la République encore en poste s’invite à la télévision pour déclarer que tout va bien dans le meilleur des mondes : sous-entendu, le sien !
Fi des mois de chaos dans les rues, de commerces vandalisés, d’agressions des Forces de l’ordre par des factieux d’extrême-gauche entraînés dans des camps connus de la Direction centrale du Renseignement intérieur (ex RG) ; lesquels ont reçu l’ordre de ne rien faire car ils ont été tellement utiles pour briser les gilets jaunes que l’on pourrait à nouveau les utiliser.
Voilà des années que pour fondre la France dans une ‘‘mondialisation heureuse’’ on a sciemment détruit le tissus industriel, le service hospitalier, supprimé ou délocalisé à pétaouchnok les services administratifs, etc…
Et pendant que les rues flambent contre un projet exclu de concertation, Macron déclare avec suffisance : « Ce texte va poursuivre son chemin démocratique ! » Je rêve !
Honte de regarder ces cireurs de pompes entrain d’ovationner une première ministre hors sol et sa comparse de l’Assemblée nationale… alors qu’il a manqué 9 voix pour éradiquer un gouvernement illégitime.
Honte aussi à tous ces parlementaires qui cautionnent le démantèlement régulier des services de l’État au Peuple.
Car le bilan de Macron, c’est la destruction de la Nation par tous les moyens, notamment par une immigration massive et la promotion de l'escroclogie toujours au profit, croit-il, d’une ‘‘mondialisation heureuse’’. Bis repetita !
Comme l’écrit très averti Alain Bauer dans l’excellent ouvrage ‘‘Au commencement était la guerre’’ (Fayard) : « Rarement un mirage aura persisté aussi longtemps et aux yeux d’un si grand nombre de personnes, que celui de la mondialisation heureuse ».
Macron, devenu sourd, aveugle, méprisant et paralytique, est le fruit de ces Centristes alliés à la gauche qui poussent des cris d’orfraie les uns les autres : Ils ont préféré Macron à Marine. Point barre !
!l représente ce qu'il incarne : le mépris profond du Peuple !
Le grand saint Éloi lui dit : Ô mon roi, Votre Majesté se fera tuer. C'est vrai, lui dit le roi, Mets-toi bien vite devant moi !