UNE AUTRE ARNAQUE : DES DONNÉES PROVIENNENT DE STATIONS DE RELEVÉ DE TEMPERATURE QUI N’EXISTENT PLUS…

Publié le par Jean-Patrick Grumberg

UNE AUTRE ARNAQUE : DES DONNÉES PROVIENNENT DE STATIONS DE RELEVÉ DE TEMPERATURE QUI N’EXISTENT PLUS…

Des centaines de stations climatiques “fantômes” ne sont plus opérationnelles depuis longtemps. Pourtant, elle “délivrent” toujours des températures.

La National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) prévoit que les mois de juillet, août et septembre seront plus chauds que d’habitude. Pour ceux qui considèrent les températures plus élevées comme problématiques, il s’agit là d’un motif d’inquiétude important qui justifie de nouvelles restrictions imposées au commun des mortels.

‘‘La Terre lance un appel de détresse”, a déclaré António Guterres, secrétaire général des Nations unies, le 19 mars. “Le dernier rapport sur l’état du climat mondial montre une planète au bord du gouffre. Oh la la ! On est cuits !

Le président Joe Biden ne pouvait pas être en reste, démocrate oblige, et a qualifié le climat de “menace existentielle” dans son discours sur l’état de l’Union en 2023.

“Regardons la réalité en face. La crise climatique ne se préoccupe pas de savoir si vous êtes dans un État rouge ou bleu.”

Tout ce beau monde lit des discours rédigés par des têtes ampoulées qui s’appuient en partie sur les relevés de température du Réseau historique de climatologie des États-Unis (USHCN), créé pour comparer, justement.

Le problème, selon les experts, est qu’un nombre croissant de stations de l’USHCN n’existent plus !

“Elles ont physiquement disparu, mais elles continuent à ‘‘transmettre des données comme par magie”, a déclaré le lieutenant-colonel John Shewchuk, météorologue consultant. “La NOAA fabrique des données de température pour plus de 30% des 1.218 stations d’observation de l’USHCN, car elles n’existent plus.

Elle appelle ça les stations “fantômes’’.

Shewchuck indique que les stations du réseau USHCN ont atteint un maximum de 1.218 stations en 1957, mais qu’après 1990, le nombre de stations actives a commencé à diminuer en raison du vieillissement de l’équipement et des départs à la retraite du personnel.

Comment se passe le tour de passe-passe sur la base duquel tant de politiques mondiales sont imposées ? La NOAA enregistre les “données” de ces stations fantômes en prenant les relevés de température des stations environnantes et en faisant une moyenne pour la station fantôme, suivie d’un “E” pour estimation.

L’ajout des données des stations fantômes signifie que les “rapports mensuels et annuels de la NOAA ne sont pas représentatifs de la réalité”, a déclaré Anthony Watts, météorologue et chercheur principal pour l’environnement et le climat à l’Institut Heartland.

“Si ce type de procédé était utilisé dans un tribunal, les preuves seraient rejetées”, explique Watts.

© Jean-Patrick Grumberg  

avec l’aimable autorisation de Dreuz.info

Jean Patrick Grumberg est journaliste.Dans les années 70, il a travaillé sous la direction de Georges Wolinski à Charlie mensuel, puis a été chef d'entreprise, lobbyiste.Il est contributeur au site de Pamela Geller, Dreuz.info et d'autres médias.

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