LE TEMPLE DE LA HONTE DES RÉCHAUFFARDS (5/8)

Publié le par CLOJAC

LE TEMPLE DE LA HONTE DES RÉCHAUFFARDS (5/8)

DES MODÈLES À NE PAS SUIVRE !

Les béotiens matraqués par la propagande médiatique ont fini par tenir pour infaillibles les modèles du GIEC.

Une aura de science qui impressionne les ignorants, servie par des « intellectuels » en blouse et barbe blanches, dignes et sérieux, renforcés par des escouades de jeunes ambitieux au léger vernis, courant après les subventions. Et une abondance de termes de pataphysique pour impressionner le bon peuple.

Or il faut rappeler cette évidence : un modèle ne rend que ce qu'on y a mis dedans. Le cas le plus typique est la courbe en crosse de hockey de Mann, le Saint Graal du GIEC, abandonnée après que le MIT l'ait qualifiée « d’artefact mathématique médiocre », et la justice de « fraude caractérisée ».

Son auteur avait tout simplement lissé 1000 ans d'évolution climatique, gommant l'optimum médiéval et amplifié le léger réchauffement observé depuis le petit âge glaciaire. Cécité ou complicité, personne n'avait rien vu. Ou n'osait protester. Le docteur Tim Ball géo climatologue qui réussit à faire condamner Mann subit l'opprobre de ses pairs et des pressions soutenues des éditeurs et des organisateurs de colloques, au cours d'un procès qui dura près de 10 ans.

LE TEMPLE DE LA HONTE DES RÉCHAUFFARDS (5/8)

Les autres modèles du GIEC ne sont pas des supercheries aussi grossières. Instruits par les déboires de Mann, les affabulateurs opèrent désormais pas petites touches plus discrètes. N'hésitant quand même pas à redresser les courbes pour qu'elles aillent toutes dans le « bon sens », celui d'un réchauffement accéléré et cataclysmique.

LE TEMPLE DE LA HONTE DES RÉCHAUFFARDS (5/8)

Loin de la pratique consistant à observer et répertorier des faits, puis à chercher des corrélations entre eux suggérant des tendances permettant d'en tirer une loi, avant d'en vérifier les tenants et aboutissants lors d'expérimentations renouvelables, en soumettant sa méthodologie à ses pairs... Méthode scientifique classique, hors physique quantique...

Les gens du GIEC assènent des axiomes se renforçant les uns les autres, ne retenant que les données les confortant, et écartant, modifiant ou marginalisant celles incompatibles avec leurs conclusions prédéterminées ! Et ceci aboutit à un paradigme présenté comme irréfragable.

D'autant plus que le GIEC est devenu un club privé où l'on se coopte entre réchauffistes. Et que, dans certains pays dont la France, les pouvoirs politiques et la pression médiatique prétendent imposer une vérité scientifique officielle.

Comme en d'autres temps pour le géocentrisme, le lyssenkisme, la phrénologie ou la "science raciale" des nazis, une circulaire de Pécresse quand elle était ministresse des universités interdit de seulement faire allusion aux théories anti-réchauffistes. Or la vraie science n'a nul besoin des diktats des politiciens pour appuyer ou réfuter ses démonstrations.

Publié dans ÉCOLOGIE RESPONSABLE

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